750 grammes
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Bien fait pour ta pomme !

18 décembre 2012

..Rôti de porc façon Orloff..

C'est une recette que je faisais régulièrement quand nous étions à Toulouse, mais je ne l'avais jamais publiée. Ici, inutile de dire que, pour notre budget, vu les tarifs de la viande et du fromage, même avec du porc, c'est déjà un plat de "presque-luxe" ! J'exagère un peu, mais pas trop quand même... ^-^ Bon, comme on commence à oublier (enfin à s'habituer) les prix français et à adapter notre alimentation, les choses trouvent un certain équilibre dans le porte-feuille. Bon, au moins, tout cela a-t-il pour avantage de rendre la journée végétarienne que nous avions instaurée en France incontournable. Je pense mes plats différemment et cette journée n'apparaît plus comme un casse-tête. Et Mr Pomme qui râlait avant, ne s'est même pas rendu compte que cette journée s'était fait une copine, puisqu'il y en a deux maintenant. C'est mieux pour la planète, mieux pour la santé ! Bizarre non de parler de ça quand je vous présente un plat "plus viandard que ça tu meurs"... enfin, je suis plus à une contradiction près...

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Pour 4 personnes :

  • un rôti de porc bio
  • 8 tranches d'emmental
  • 8 tranches de pancetta
  • poivre
  • cumin

On commence par déficeler le rôti. On l'entaille en 8 endroits sans aller jusqu'en bas pour qu'il tienne bien en cuisson. On glisse dans chaque fente une tranche de fromage et de pancetta.

On reficelle le rôti avec de la ficelle alimentaire. On poivre (pas besoin de saler avec la coppa), on saupoudre de cumin.

Personnellement, j'enfourne dans le four froid, mais si vous voulez préchauffer avant, vous pouvez. Je règle à 160°C pour environ 40 minutes. Je le retourne 2 fois pendant la cuisson et j'arrose avec le jus qu'il rend. Sur la fin, je mets en marche le gril juste pour bien faire dorer le dessus.

Avec des pommes de terre dorées au four, ou cuites dans le même plat que le rôti, c'est excellent !

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Maintenant, à vous de jouer !

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12 décembre 2012

..Crumble choco-pommes, ganache au rhum..

Il y avait cette recette de Boubou du blog Délicieusement.. simple ! dont je suis une fan absolue et qui m'a tout de suite fait craqué. Après ça, pas de doute, il me fallait un crumble au chocolat et vite ! Et puis, alors que j'allais le faire, je me suis rappelée que Gontran Cherrier en avait un dans le même style, dans son livre Ultra Chocolat, qui associait les pommes à une ganache au chocolat.

Forte de tout cela, je me suis lancée en cuisine pour une version personnelle. Et je remercie grandement mes deux sources d'inspiration parce que... hum... ce que c'était bon !

Crumble pomme chocolat

Pour 6 personnes :

  • 40 g de farine
  • 60 g de beurre
  • 30 g de poudre d'amande
  • 20 g de flocons de petits épeautre
  • 50 g de sucre
  • 1 pincée de sel
  • 4 grosses pommes
  • 50 g de chocolat noir 70%
  • 80 g de crème liquide
  • 1 trait de rhum

On préchauffe le four à 180°C.

On commence par préparer la pâte à crumble en mélangeant la farine, le sucre, le sel, la poudre d'amande et les flocons d'épeautre. On coupe le beurre très froid en morceaux et on mélange le tout avec les doigts pour sabler l'ensemble. On réserve au frais.

On pèle et on coupe en quartier les pommes. On les place dans un plat allant au four et on saupoudre légèrement de sucre. On enfourne pour une dizaine de minutes, le temps de précuire les pommes pour les attendrir.

On prépare alors la ganache en faisant bouillir la crème que l'on mélange ensuite en 2 fois au chocolat (en faisant attention à bien l'incorporer à chaque fois). Quand le chocolat est bien lisse, on ajoute le rhum.

Puis on récupère les pommes. On nappe avec le chocolat, on émiette le crumble dessus et on place au four pour 20 minutes, ou jusqu'à ce que le dessus du crumble soit bien doré.

Quel délice ! C'est top ! Suis fan avec une version à venir ananas et chocolat... ganache au malibu ! ^-^

Crumble pomme chocolat-3

Maintenant, à vous de jouer !

11 décembre 2012

..Brownie au chocolat et canneberges (selon la recette de D. Lebovitz)..

En mantière de brownies, j'ai une "légère" (oui oui très légère) addiction... Du coup, dès que je trouve une nouvelle recette, ça devient vite une sorte d'obsession, et pas le choix, il faut que je la teste. Enfin presque, parce que je suis rarement capable de la réaliser fidélement. Je sais pas, 250 g  de sucre... j'y arrive pas, une réaction épidermique, mon cerveau qui refuse de coopérer. Au-delà de 100-130 g de sucre, mes mains ne fonctionnent plus, je suis sur "off" et plus rien ne se passe. C'est un peu pareil avec le beurre. J'ai beau me dire que ces bombes caloriques ne se mangent pas à la grosse cuillère et que donc, proportionnellement à la petite bouchée dont je vais me régaler, ça sera pas si gras et sucré que ça... j'y arrive pas, blocage total ! Ceci est quelque peu problématique pour une addict au brownie, mais bon l'appel du chocolat reste le plus fort de toutes manières, surtout face à de telles promesses...

2012

Pour 16 bouchées :

  • 225 g de chocolat noir
  • 110 g de sucre
  • 35 g de farine
  • 2 oeufs
  • 1 cuillère à café d'extrait de vanille
  • 85 g de beurre
  • 1 grosse poignée de canneberges fraîches

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On fait fondre ensemble au bain-marie le chocolat (préalablement haché si nécessaire) avec le beurre coupé en dés.

On ajoute ensuite le sucre dans le mélange chocolat/beurre, puis les oeufs l'un après l'autre en faisant bien attention à les incoporer complétement à chaque fois.

On incorpore enfin la farine et la vanille. Puis les canneberges que l'on ajoute délicatement. On verse la préparation dans un moule (de 22 cm par 22 cm) préalablement recouvert de papier sulfurisé.

On place au four pour 25 minutes de cuisson.

Dès qu'il est prêt, on plonge le plat dans l'eau froide pour stopper la cuisson et favoriser la formation de la petite croute croquante si agréable.

Verdict : ce brownie est un délice. Ultra chocolaté comme je les aime et super cheewy ! Suis franchement fan !!!!

2012  2012

Maintenant, à vous de jouer !

Source : Ready for dessert de D. Lebovitz

10 décembre 2012

..Sablés de P. Conticini..

Voilà une recette de saison, non ? Même si des bons petits sablés, ça se mange n'importe quand, hein. Mais bon, à l'approche des fêtes, ça ne peut que coller pour agrémenter les paniers gourmands. Et là, vu que je suis allée piocher dans la gourmandothéque de Mr Conticini, on peut pas franchement dire qu'on prendrait un risque en les offrant à qui que ce soit ! En plus, c'était l'occasion rêvée d'utiliser ces petits emporte-pièce offerts par ma chère belle-soeur.

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Pour environ 30 sablés :

  • 240 g de farine
  • 80 g de sucre
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 10 g de poudre à lever
  • 150 g de beurre pommade
  • 1 jaune + sucre glace pour la dorure

On commence par mélanger ensemble le beurre et la cassonade jusqu'à obtenir une pâte bien homogène.

Dans un récipient, on mélange ensemble farine, poudre à lever et sel. Puis on ajoute ce mélange dans le précédent en amalgamant sans trop travailler. On abaisse enseuite la pâte pour obtenir une plaque de 2 cm d'épaisseur et on dépose au frais pour 3 heures de repos.

Une fois ce temps écoulé, on récupère la pâte. On abaisse à nouveau pour obtenir une plaque d'une épaisseur de 8 mm environ. Puis avec un emporte-pièce de la forme que l'on souhaite, on découpe les biscuits que l'on dépose sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, et l'on replace au frais pour 45 minutes.

Une fois ce second temps de repos passé, on préchauffe le four à 160°C. Pendant ce temps, on dore avec le jaune d'oeuf additionné d'un peu de sucre glace. Puis on enfourne pour 15 minutes de cuisson.

Une fois cuits, on laisse les sablés refroidir avant de les manipuler. Et quand ils sont bien froids, on les conserve dans une boîte métallique. Ils se conservent plusieurs jours si jamais vous avez la chance de les garder si longtemps parce que, moi, ils sont partis... comme des petits pains ! Je pense que pour Noël, je vais en faire une version aux zestes de clémentine. J'vous tiendrais au courant du résultats !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Sensations de P. Conticini

6 décembre 2012

..La fausse pizza de Nigella Lawson... 5 minutes top chrono !..

Parfois, il m'arrive de choisir un blog que j'aime particulièrement et de reprendre le fil des publications pour faire ressurgir des billets qui m'avaient échappés ou qui ne m'avaient pas forcément "parlés" sur le moment, parce qu'en cuisine, comme en tout, j'ai mes marottes et mes petites obsessions passagères... Cette fois, c'est la Food Box qui était l'objet de mon attention scrupuleuse et gourmande, ce qui m'a permis de mettre de côté certaines petites pépites à tester bientôt. Et puis, arrivant en décembre 2010, j'ai su que je venais de trouver notre repas du soir... Trop intriguée, il me fallait tester cette fausse pizza signée Nigella Lawson. Accompagnée d'une salade verte, ça ne pouvait que matcher !

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Pour un moule de 30 cm de diamètre :

  • 100 g de farine
  • 75 g de lait
  • 50 g de fromage râpé
  • 1 oeuf
  • origan

On commence par préchauffer le four à 190°C.

On mélange tous les ingrédients ensemble avec un fouet pour obtenir une pâte lisse et sans grumeaux.

On chemise un moule à tarte de papier sulfurisé. Puis on étale la préparation dessus.

On place au four pour 20 minutes.

Puis, on récupère cette pâte que l'on prépare ensuite comme une pizza. Ici, j'ai choisi de la napper de tomate, et de l'agrémenter de pancetta et de cheddar râpé. Ce qui compte, c'est de se faire plaisir hein !

Ensuite on replace la "pizza" pour 10 minutes au four.

On sert bien chaude avec un peu de sauce piquante.

Verdict : c'est pas une pizza, mais quelle belle alternative quand on est pressé. Ca prend 5 minutes à faire et ça se mange délicieusement bien. C'est même assez bluffant. En tous cas, Mr Pomme en a redemandé, et pour cet amateur de pizza, c'est un bon signe ! A faire donc !

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Maintenant, à vous de jouer !

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5 décembre 2012

..Parce qu'il n'ai jamais trop tard pour apprendre à aimer les courges... Gnocchi au potimarron..

J'ai décidé de me prendre en main et de me forcer à manger des choses que je n'aime pas. Après tout, j'avais bien lu une fois que pour faire manger aux enfants des choses qu'ils n'aiment pas, il ne faut surtout pas les forcer, mais leur faire manger un peu de l'aliment incriminé plusieurs fois, ces petits contacts répétés permettant d'apprivoiser le (dé)goût. Je crois que c'est aux alentours de 15 essais que le cerveau commence à se dire que finalement, c'est pas si mauvais. J'avais déjà réussi avec les tomates il y a quelques années, alors, là je me lance à l'assaut des courges dont j'ai une sainte horreur et qui sont on ne peut plus présentes ici...

Comme on le ferait avec des enfants, je commence doucement. Pas question de démarrer avec une purée 100% courge ou une courge rôtie au four (ce qui a pourtant l'air appétissant, mais bon...). Donc, pour l'instant, la courge, je me la cache. Je triche en en incorporant un peu dans des choses que j'aime... Et ça marche. Ces gnocchi sont passés comme une lettre à la poste. C'est à peine si j'ai su que s'y cachait un petit potimarron. ^-^

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Pour environ 8 personnes :

  • 700 g de purée de pommes de terre à chaire farineuse
  • 300 g de purée de potimarron
  • 350 g de farine
  • 1 oeuf
  • sel
  • curcuma

On commence par faire cuire les pommes de terre et le potimarron au four. Attention, à ne pales cuire dans l'eau pour éviter qu'ils ne se gorgent d'eau justement.

Quand les pommes de terre et le potimarron sont bien tendres, on les sort du four et on laisse refroidir.

On épluche ensuite les pommes de terre, on évide le potimarron et on réduit le tout en une purée bien fine (avec un tamis c'est top quand, comme moi, on a pas de presse purée !).

On creuse un puits au centre de la purée, on casse l'oeuf dedans, on ajoute 200 g de farine, on sale et on saupoudre avec le curcuma. Puis avec les doigts on mélange bien. On ajoute ensuite le reste de farine progressivement, jusqu'à obtenir une pâte lisse et homogène qui ne colle plus aux doigts et au plan de travail (ça peut demander un peu plus de farine que prévu en fonction de vos pommes de terre).

On prend ensuite des portions de pâte. On forme un boudin e 1,5 cm de diamètre environ, puis avec un couteau, on découpe des tronçons de 1 cm. On peut les utiliser directement comme ça, ça donne des petits coussins. On peut également essayer de les façonner en les appuyant et les roulant contre le dos d'une fourhette (ce que je ne maîtrise pas encore totalement comme le montrent bien les photos).

On pose les gnocchi sur un torchon propre légèrement fariné. Et on continue jusqu'à épuisement de la pâte.

A cette étape, on peut choisir de les cuisiner immédiatement (enfin après un petit repos de 30 minutes au frais), ou bien de les congeler (et ensuite des les utiliser en les plongeant, encore congelés, dans de l'eau bouillante).

Pour les péparer, rien de plus simple. On porte un grand volume d'eau à ébullition. On jette les gnocchi dedans, et quand ils remontent à la surface, on compte 30 secondes, on égoutte et voilà.

Perso, je les adore avec une sauce au brocoli et au parmesan, comme sur la photo ci-dessous, mais pour là, c'est comme vous voulez !

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Maintenant, à vous de jouer !

5 décembre 2012

..Un plaid, un manga et... un chocolat ! Hiver, je suis prête !..

La semaine dernière, nous avons eu un pti aperçu de ce que serait l'hiver ici, dans le grand nord... Mais pas de soucis ! "Même pas peur" même... Qu'il vienne et s'installe l'hiver glacial, je suis pas impressionnée parce que moi, quand il fait grand froid, j'ai le remède idéal ! Un joli plaid en laine bien chaud, un pti manga pour décompresser, et un bon chocolat chaud. Confortablement installé dans le canapé, avec le chauffage à fond les ballons, j'peux vous dire que je leur ris au nez aux pti flocons de neige québécois, tiens !

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Par personne :

  • 15 g de chocolat noir à 70%
  • 15 g de chocolat au lait
  • 1 cuillère à soupe de fécule de maïs
  • 250 ml de lait

On commence par hacher finement le chocolat noir et le chocolat au lait. On le mélange avec la fécule de maïs.

Dans une casserole, on place le mélange chocolat et fécule. On verse un peu de lait pour diluer, puis on ajoute le reste du lait et on place sur feu doux. Sans cesser de remuer, on porte le tout à petite ébullition jusqu'à ce que le mélange commence à épaissir, puis on sert immédiatement.

A déguster sans modération !

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Maintenant, à vous de jouer !

3 décembre 2012

..Matlouâ maison..

Je n'avais encore jamais posté la recette et pourtant, je l'ai réalisée souvent depuis que je l'ai dénichée chez Cuisinons en couleur. Enfin, si on veut être précise, ce matlouâ est mon premier, puisque d'habitude, je fais la pâte pour faire des batbouts (petits sandwichs fourrés parfaits pour un apéro dinatoire ou un pique-nique, mais bon en ce moment, à Montréal, les piques-niques ne sont pas vraiment au programme... enfin, sauf pour le Père-Noël peut-être !). Et ce que nous apprend Salma, c'est que cette même base porte deux noms différents selon la taille et sa fonction. Enfin, petit ou grand, ce pain est parfait. Il s'adapte aux accompagnements salés comme sucrés, il se congèle merveilleusement bien et se décongèle sans difficulté, rapidement et sans perdre son goût. La mie est moelleuse et bien aérée. Bref, faut pas hésiter.

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Pour 2 matlouâ :

  • 500 g de farine
  • 1 cuillère à café de sucre
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 8 g de levure sèche (instantanée pour moi)
  • 1 cuillère à soupe d'huile d'olive
  • 400 ml d'eau (à 50°C pour moi mais c'est parce que c'est ce qui est attendu pour ma levure. Regardez donc bien les instructions du fabriquant avant de vous lancer. Sinon, pour la quantité, généralement, je n'utilise pas tout, cela dépend de la farine)

On commence par mélanger ensemble dans la cuve du robot, la farine, le sucre, le sel et la levure.

On place le pétrin et on verse l'huile, puis on incorpore doucement l'eau en faisant tourner le pétrin du robot sur une vitesse lente. On arrête d'ajouter de l'eau quand on obtient une belle boule de pâte souple et pas trop collante.

On boule et on laisse reposer sous un torchon propre à l'abris des courants d'air 30 minutes environ.

On récupère la pâte, on divise en deux. On forme deux boules que l'on aplatit avec la main pour obtenir une belle galette d'environ 2 cm d'épaisseur.

On laisse lever 15 minutes environ.

Puis on fait chauffer une poêle (légèrement huilée si elle n'est pas anti-adhésive comme moi) à feu moyen. On dépose le pain dedans quand la poêle est chaude. On laisse jusqu'à ce que la première face soit dorée, puis on retourne pour cuire l'autre côté.

On dépose ensuite le pain sur une grille pour qu'il refroidisse et on recommence avec le second pain.

Et voilà ! Y a vraiment rien de compliqué, mais qu'est-ce que c'est bon ! Tiens, là, juste grillé avec un peu de marmelade d'orange... yummy !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Cuisinons en couleurs

30 novembre 2012

..Fluffy "One cup" pancakes de Jamie Oliver..

C'est bientôt le week-end et cette recette tombe donc à point nommé pour le brunch dominical, non ? Toujours à la recherche de nouveauté en matière de pancakes (je ne sais pas combien de recette différentes j'ai pu tester...), je me suis surprise en pensant que je n'avais JAMAIS testé la recette de Jamie Oliver ! Comment est-ce possible ? Oui, je vous le demande ! Comment ? Surtout que la recette n'est pas d'une difficulté extrême, reconnaissons-le... 1 cup, 5 ingrédients de base et voilà ! De bons moelleux et épais pancakes !

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Pour une 15ne de pancakes :

  • 1 cup de farine (avec une tasse de 250 ml)
  • 1 cup de lait
  • 1 gros oeuf
  • 1 cuillère à soupe de poudre à lever
  • 1 pincée de sel

On commence par mélanger ensemble dans un récipient la farine, la poudre à lever et le sel. On creuse un puits au centre et on y casse l'oeuf. On mélange grossièrement à la farine en intégrant petit à petit le lait. Il ne reste ensuite plus qu'à cuire les pancakes dans une poêle bien chaude légèrement huilée.

Et voilà, c'est tout ! On peut laisser reposer la pâte un petit quart d'heure pour que la levure fasse un peu plus son effet à la cuisson, mais même en les cuisant directement, les pancakes seront bien gonflés.

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Ministry of Food de Jamie Oliver

28 novembre 2012

..Amaretti : une base, deux gourmandises, version classique et cacaotée..

Voilà des petites choses qui accompagneraient à merveille le thé que je suis en train de boire en écrivant ce billet... enfin, faudrait-il encore qu'il en reste... Bon, j'ai au moins leur souvenir qui peut m'accompagner... Mais bon qu'est-ce que le souvenir quand on pourrait rapidement, si rapidement, courrir à la cuisine, rassembler les 4 ingrédients nécessaires et prendre les 2 minutes suffisantes pour les réaliser. Attendre 10 petites minutes qu'ils cuisinent, à peine plus pour qu'ils refroidissent... et se régaler à nouveau pour de vrai... Allez, j'vous laisse, on m'appelle en cuisine ! ^-^

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 Pour une 20ne de petits amaretti :

  • 1 blanc d'oeuf
  • 90 g de poudre d'amandes
  • 100 g de sucre glace
  • 1 cuillère à soupe de cacao en poudre non sucré
  • quelques gouttes d'extrait d'amande amère

On commence par préchauffer le four à 180°C.

Puis on mélange ensemble poudre d'amande et sucre glace. On ajoute le blanc d'oeuf et l'extrait d'amande. On amalgame bien jusqu'à obtenir une pâte homogène. 

On sépare la pâte en deux et dans l'une d'elle, on verse le cacao. On mélange rapidement pour obtenir une sorte de marbrure.

Puis, avec les doigts légèrement humides, on récupère des petites portions de pâte et on forme des boules ou des ovales avec les doigts.

On dépose les biscuits sur une plaque recouverte de papier sulfurisé en espaçant bien, la pâte s'étalant un peu à la cuisson.

On place ensuite on four pour 10 minutes.

Une fois la cuisson terminée, on attend un peu avant de les placer sur une grille pour qu'ils refroidissent totalement parce qu'ils sont plutôt fragiles à la sortie du four. Une fois qu'ils ont un peu durci, on peut les placer sur une grille.

Ils se conservent très bien dans une boîte hermétique. Enfin, si vous avez le temps de les conserver parce que c'est tellement bon que ça part très très très vite ! Ce mélange de croquant et de fondant a vraiment un petit goût de "reviens-y très souvent" !

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Maintenant, à vous de jouer !

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