750 grammes
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Bien fait pour ta pomme !
29 novembre 2010

..Fondant chocolat et orange..

Allez quoi de mieux pour se mettre du baume au cœur et reprendre des forces que de faire une petite cure de chocolat... Ben oui, rien !! Vraiment rien. Du coup, ce week-end, alors que ma voix continuait à me faire défaut et que les médicaments n'y faisaient rien, j'ai décidé de reprendre à mon compte un remède ancestral, directement inspiré de la médecine pré-colombienne... Oh, je vous vois venir derrière votre écran. Je sais quelle théorie erronée vous êtes en train de développer. N'y pensez même pas où je crie à la diffamation ! Non ! Ce n'est pas  une excuse tordue pour justifier mon flagrant délit de gourmandise... Pas du tout ! Le chocolat est un produit magique et ses propriétés vont bien au-delà du simple plaisir gustatif... c'est pas moi qui le dit, ce sont les aztèques ! Et oui ! Donc, pas de gourmandise derrière ce fondant au chocolat, non, non et non ! Rien que du curatif, rien de plus ! Et pour preuve : le retour de ma voix ! Vous les entendez là mes vocalises... Non seulement mes cordes vocales sont régénérées, mais surtout elles ont retrouvé leur souplesse d'antan... Conclusion... vive le chocolat !

Et pour tous ceux et celles qui ont un pti coup de mou, je partage avec vous mon remède magique. Alors oubliez la culpabilité, pensez à votre santé !!

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Pour 8 portions individuelles :

  • chocolat noir : 120 g
  • sucre : 80 g
  • beurre : 90 g
  • œufs : 2
  • 50 g de farine
  • Triple sec : 1 cuillère à soupe
  • écorces d'orange confite : une dizaine

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On fait fondre ensemble le chocolat et le beurre coupés en petits morceaux. Quand c'est bien lisse, on réserve. On bat les œufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. On ajoute le mélange chocolat et beurre. Puis la farine.

On coupe les écorces d'orange en petits morceaux. On verse dans l'appareil avec le triple sec. On mélange bien.

On verse dans des moules individuels ou un moule plus grand. Puis on place au four à peine 20 minutes.

Et on se régale !!!! Surtout ne pas le manger à la sortie du frigo, le froid casse vraiment le fondant du gâteau.

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Maintenant, à vous de jouer !

 

Nb. Cette recette vient de mon premier blog, alors si vous avez envie de lire les commentaires qui avaient été publiés à l'époque, rendez-vous ici : clic

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20 janvier 2014

..Mousse au chocolat selon Philippe Conticini..

Rien de plus simple qu'une mousse au chocolat ? Pas toujours... Autant elle peut être délicieuse quand elle est réussie, autant une mousse râtée, compacte et lourde, avec les blancs qui grainent, ça gâche tout le plaisir ! Et je suis sûre que vous avez tous eu la malchance un jour de goûter ce genre de mousse totalement râtée...

La mousse parfaite pour moi doit être forte en chocolat, tout en étant légère et onctueuse... Et ça tombe bien parce que c'est exactement comme ça qu'est définie celle que nous propose Philippe Conticini dans le merveilleux Sensations, et qu'il tient de sa maman. Et croyez-moi, la promesse est tenue. Le secret du chef : ne pas monter les blancs trop fermement pour donner à cette mousse tout son moelleux tout en gardant une bonne tenue.

Je n'ai pas pu m'empêcher de l'accompagner d'une petite chantilly à la vanille et d'un coulis de framboise... quelques graines de grenade et une petite tablette de chocolat au pralin avec ça, et cette mousse devient franchement sexy !!!

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Pour 4 personnes :

Pour la mousse :

  • chocolat noir à 70% : 100 g
  • beurre : 40 g
  • jaune d'oeuf : 1
  • blancs d'oeuf : 4
  • sucre : 25 g

Pour l'accompagner :

  • crème fouettée vanillée maison
  • coulis de framboise maison
  • carré de chocolat au pralin
  • quelques graines de grenade

On commence par faire fondre le chocolat et le beurre au bain-marie jusqu'à ce que le mélange soit bien lisse, et on laisse tièdir.

Pendant ce temps, on monte les blancs en neige avec le sucre. On arrête quand ils sont bien mousseux, mais pas encore très fermes.

Quand le chocolat a tiédi, on l'ajoute en trois fois au jaune placé dans un grand saladier, en mélangeant bien entre chaque ajout. On ajoute ensuite 2 cuillères à soupe de blancs d'oeuf que l'on incorpore vivement pour détendre le tout. Puis on incorpore le restant des blancs délicatement à l'aide d'une maryse pour ne pas casser les blancs.

On transpose la mousse dans des ramequins individuels et on place au frais pour au minimum 3 heures.

Avant de servir, on fouette de la crème entière avec un peu de sucre et de poudre de vanille pour en faire une chantilly. On dépose la crème sur la mousse au chocolat. On nappe avec un peu de coulis de framboise, on plante un carré de chocolat au pralin pour le croquant, quelques graines de grenade sur le tout... et le tour est joué !

Un dessert de chef que l'on a hâte de goûter ! ^-^

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Sensations de Philippe Conticini

30 octobre 2013

..Glace au yaourt et à la fraise..

J'ai fêté mes 22 ans (à quelque chose près c'est ça... oui oui... ^-^) il y a peu, et j'ai été super gâtée par un entourage intéressé... euh, bien renseigné... qui a ramené dans ma vie feue Madame de La Sorbetière. Et comme Kitchen-friend II et moi on était super content de ces gourmandes retrouvailles, j'ai décidé de mettre notre complicité à l'épreuve immédiatement avec une petit réalisation rapide improvisée : une glace au yaourt et à la fraise qui arrive juste juste à temps pour octobre rose !!

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Pour 6 personnes :

On mélange ensemble les ingrédients que l'on place au frais plusieurs heures pour que tout soit bien froid. Et après, c'est direct dans le bol de la sorbetière pour un turbinage de 20 minutes.

Là, vous pouvez la manger immédiatement, elle est légèrement molle, mais vraiment parfaite. On peut aussi la mettre 30 minutes au congélateur pour la faire prendre et faire de jolies boules. Par contre, plus longtemps, elle devient très dure, donc il faudra penser à la sortir à l'avance (20 minutes avant). Je sais qu'on peut y mettre des choses pour éviter qu'elle ne durcisse autant, mais là, je voulais juste une glace rapide à manger tout de suite, alors j'ai pas trop élaborer ma recette hein...

Et on dit quoi ? Merci les copines !!! ^-^

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Maintenant, à vous de jouer !

13 août 2014

..Cookies ultra fondants à la pralinoise..

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais les recettes ont tendance à s'accumuler dans mon ordi et je me retrouve avec des fichiers et des fichiers de recettes et photos non publiées. Vous serez d'accord que de temps en temps un bon ménage s'impose ! C'est ce que j'essaie de faire en ce moment, ce qui fait que certaines recettes réalisées il y a plusieurs mois voire plusieurs années ressurgissent de ma mémoire (enfin, de celle de mon ordi... on s'entend !)... Ces cookies datent de 2012, mais je me rappelle très bien quand et pourquoi je les ai fait (la mémoire gourmande n'est-elle pas la meilleure de toutes au final !) : un petit coup de mou alors que je planchais sur mes dossiers de candidatures pour des postes de maître de conférences en France... Je me rappelle même en avoir fait deux fournées cette semaine là... pour vous dire ! En tous cas, cette recette reste ma préférée de toutes celles que j'ai pu tester en matière de cookies, et maintenant, je vais devoir plancher sur une version sans gluten parce qu'après avoir rédigé ce billet, je suis sûre qu'elle va me tourner dans la tête pendant un pti moment... ah, gourmandise quand tu nous tiens !!

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Pour 36 cookies :

  • pralinoise : 150 g
  • chocolat noir : 70 g
  • sucre roux : 80 g
  • farine : 110 g
  • poudre à lever : 1/2 cuillère à café
  • sel : 1/4 cuillère à café
  • oeufs : 2 gros
  • beurre : 50 g

On commence préchauffer le four à 160°C.

On fait fondre au bain-marie le chocolat concassé et la pralinoise avec le beurre coupé en morceaux jusqu'à ce que le mélange soit bien lisse.

On mélange ensemble la farine, le sel et la poudre à lever.

On fouette les oeufs avec le sucre et on y incorpore le chocolat/pralinoise et le beurre. Puis on verse dans le mélange sec.

On forme des petits tas bien espacés sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Puis on place au four pour 10 minutes de cuisson.

A la sortie du four, les cookies sont très mous, mais ils vont durcir en refroissant, il faut donc attendre avant de les décoller de la plaque.

Et après on se régale ! Ils sont LE remède contre la déprime et sont parfaits quand tout va bien également !!!! Bref, toutes les excuses sont bonnes pour les faire et les manger ! ^_^

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Maintenant, à vous de jouer !

19 février 2014

..Muffins marbrés au cacao et beurre de cacahuète..

Il n'y a pas d'enfant à la maison, et pourtant quand je cuisine le dimanche, j'ai l'impression d'en nourrir toute une armée... La gourmandise ne passerait donc pas avec l'âge... ^-^ Il y a déjà quelques versions de marbrés sur ce blog, mais l'avantage avec ce genre de recette, c'est que les variantes sont infinies. Cette fois, c'est le pot de beurre de cacahuète qui m'a fait de l'oeil. Faut dire que ça se marie vraiment bien avec le chocolat.

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Pour 10 muffins marbrés :

  • farine : 175 g
  • sucre : 90 g
  • sel : 1 pincée
  • poudre à lever : 5 g
  • beurre fondu : 90 g
  • oeufs : 3
  • beurre de cacahuète crémeux : 60 g
  • cacao en poudre non sucré : 50 g
  • lait : 30 g

On commence par préchauffer le four à 200°C.

On fouette dans un grand saladier le beurre, les jaunes d'oeuf et le sucre ensemble. On ajoute le sel et la farine, ainsi que la poudre à lever. On monte les blancs en neige ferme et on les incorpore délicatement.

On sépare la préparation en deux.

Dans une première moitié, on ajoute le beurre de cacahuète. Dans la seconde, le cacao et le lait.

On beurre des moules à muffins. On y verse alternativement la préparation au chocolat et celle au beurre de cacahuète. On mélange avec la pointe d'un couteau.

Puis on place au four pour 20 minutes.

On laisse refroidir sur une grille avant de dévorer à l'heure du goûter, au pti déjeuner... quand vous voulez quoi !

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Maintenant, à vous de jouer !

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30 août 2014

..Bouchées aux myrtilles..

Une petite recette exhumée de 2011... je vous l'ai déjà dit, mon disque dur déborde de recettes non publiées. Ce n'est pas la recette de l'année, je vous l'accorde, elle aurait peut-être pu rester au chaud dans mon disque dur, mais ce blog c'est également mon livre de recettes alors j'aime bien garder une trace des petites choses qui ont bien fonctionné à la maison. Et ces bouchées en font partie. Je les ai d'ailleurs faites très souvent pendant une période et il serait temps d'en refaire une fournée, histoire de refaire quelques photos un peu plus jolies... mais bon pour l'heure, retour dans le passé... Nous sommes le 8 février 2011 (merci la photo numérique) à Toulouse. Il fait froid, gris et moche. Toutes les conditions sont remplies pour que je boude, mais ce n'est pas le cas parce qu'avec les quelques myrtilles qu'il me restait au congélateur, j'ai fait des tout-petits micro moelleux et que je suis en train de les manger encore tièdes, en buvant un bon chocolat chaud... la mémoire gourmande est décidément la meilleure de toute !

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Pour environ 30 bouchées :

  • farine : 150 g
  • sucre : 50 g
  • poudre à lever : 1 cuillère à café
  • oeufs : 2
  • beurre : 40 g
  • crème liquide : 4 cuillères à soupe
  • extrait de vanille
  • myrtilles surgelées

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On fait fondre le beurre, et on le réserve.

On fouette les oeufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse et double de volume. On incorpore la farine et la levure tamisée ensemble. Puis on ajoute le beurre et la crème, et la vanille. On mélange jusqu'à obtenir une pâte bien lisse.

On remplit les moules à moitié avec de la pâte. On dépose au milieu quelques myrtilles et on recouvre de pâte.

On place au four pour 15 minutes. Une fois cuits, on laisse les mini moelleux refroidir sur une grille. Ils se conservent parfaitement dans une boîte en fer, si vous avez l'occasion d'en mettre quelques uns de côté... De mémoire, la question ne s'est pas vraiment posée... 30 bouchées et deux gourmands... vous voyez ce que je veux dire !

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Maintenant, à vous de jouer !

22 novembre 2014

..Petites crèmes à la pistache..

Bon, en ce moment, j'avoue que ça tourne en rond dans ma tête... crèmes, crèmes, crèmes... je suis totalement crème (et un peu tarte aussi mais ça c'est une autre histoire). Donc après les crèmes à la vanille, je me suis lancée dans la version de Fou de pâtisserie à la pistache, sans le citron parce que c'est pas trop le truc de Mr Pomme et avec plus de pistache. Et oui, là aussi ça tourne en rond... je consulte, consulte et reconsulte ces numéros gourmands non stop en ce moment... En tous cas, bonne pioche parce qu'elles sont délicieuses !

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Pour 8 crèmes :

  • jaunes d'oeuf : 6
  • lait entier : 800 ml
  • pâte de pistache : 2 cuillères à soupe
  • sucre : 80 g

On commence par préchauffer le four à 190°C.

On place le lait à bouillir dans une casserole avec la pâte de pistache. On mélange bien au fouet pour la délayer dans le lait. Quand le lait bout, on le sort du feu, et on laisse tièdir.

On fouette alors les jaunes dans un saladier avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. On verse dessus le lait tièdi en remuant constamment. Puis on remplit des petits pots avec la préparation.

On place les pots dans un plat à gratin. On verse de l'eau bouillante dedans pour qu'elle arrive à moitié des pots. On enfourne et on cuit 35 à 40 minutes.

Les crèmes sont encore tremblotantes à la sortie du four, mais elles vont gagner en fermeté avec le temps et le passage au froid. S'il faut attendre au moins 2 heures avant de déguster, le mieux, c'est encore d'attendre le lendemain et de les laisser une bonne nuit au frigo.

La texture est vraiment parfaite. Très onctueuses et suaves, ces petits crèmes sentent divinement la pistache, la vraie hein, pas le goût artificiel et elles ne sont pas trop sucrées. A tester !

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 Maintenant, à vous de jouer !

Source : Fou de pâtisserie n°2

5 août 2014

..Scones aux bleuets..

Une petite recette qui dormait dans mes dossiers depuis un an... zoups ! C'est que c'est pas toujours facile de suivre le rythme des publications... Cette recette n'est pas une révolution. Depuis que j'ai découvert la recette des scones de Rose Bakery, je lui reste fidèle. Je m'amuse en revanche en les agrémentant toujours différemment. L'an dernier, nous avions particulièrement apprécié ceux à la menthe et cette version aux bleuets que je vous propose aujourd'hui. Depuis, je ne mange plus de gluten, mais je fais quand même régulièrement des scones pour Mr Pomme et d'ailleurs, bientôt, vous aurez droit à une nouvelle variation ! Mais pour l'heure, les bleuets...

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Pour 8 scones :

  • farine : 250 g
  • beurre bien froid : 50 g
  • lait : 150 ml
  • poudre à lever : 9 g de
  • sucre : 1 cuillère à soupe
  • sel : 1 pincée
  • bleuets : 150 g

On commence par préchauffer le four à 200°C.

On mélange ensuite ensemble la farine, le sucre et le sel.

On coupe le beurre en morceaux et on l'incorpore du bout des doigts dans le mélange sec pour sabler le mélange.

On verse le lait, et on mélange avec une fourchette jusqu'à obtenir une pâte homogène. On ajoute délicatement les bleuets. Attention à ne surtout pas trop insister et pétrir la pâte sinon les scones seront beaucoup trop compacts.

On forme une boule et on transvase sur un plan de travail légèrement fariné. On abaisse la pâte sur 3 à 4 cm d'épaisseur, en formant un carré. Puis on découpe en 8 (on commence par couper en deux  pour obtenir deux rectangles, que l'on découpe encore en deux pour obtenir cette fois 4 carrés, que l'on découpe dans la diagonale pour obtenir 8 triangles... vous suivez...).

On nappe chaque scone avec un peu de lait additionné de sucre glace, on pose sur une plaque et on place au four pour 15 à 20 minutes, jusqu'à ce que les scones soient légèrement dorés.

On laisse juste refroidir légèrement et on les dévore immédiatement ou bien on les congèle pour pouvoir profiter de bons petits scones dès le matin...

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Maintenant, à vous de jouer !

15 août 2014

..Sirop de menthe fraîche..

Terminons la semaine avec une recette qui va nous permettre de mettre un peu d'été en bouteille ! A la maison, on adore la menthe, vraiment vraiment beaucoup... je la mets souvent dans mes recettes sucrées et salées et tous les étés je fais le plein de menthe fraîche que je congèle ensuite pour en profiter tout l'hiver. Cette fois, mon bouquet n'a pas eu le temps de finir au congélateur, car j'avais d'autres plans pour lui... un joli sirop maison ! Je voulais déjà en faire l'été dernier car Mr Pomme apprécie particulièrement un verre de menthe bien fraîche, mais je n'avais pas eu l'occasion de m'y mettre. Cette année, c'est fait et franchement, c'est tellement simple à faire que je pense que je vais vite m'y remettre surtout quand on voit tout ce qu'ils mettent dans les versions industrielles... ne vous attendez donc pas à un sirop vert-shrek et ici la menthe prend le dessus sur le sucre pour un plaisir plus naturel !

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Pour une petite bouteille (400 ml environ) :

  • menthe fraîche (ici menthe marocaine plus goûteuse je trouve) : 150 feuilles
  • sucre : 200 g
  • eau : 250 ml

On commence par laver la menthe, puis on l'effeuille.

Dans une casserole, on met l'eau et le sucre à bouillir. On jette les feuilles de menthe et on cuit pendant 10 minutes à couvert. On stoppe ensuite la cuisson et on laisse refroidir avant de placer le tout au frais pour 24 heures au minimum.

Une fois le temps d'infusion passé, on passe la préparation au chinois. On presse fortement les feuilles de menthe pour bien libérer l'ensemble des sucs. Puis on passe le sirop en utilisant une compresse ou un tissu à fromage pour bien éliminer les impuretés. On met en bouteille et on conserve au frais.

Se conserve ainsi 2 mois si vous arrivez jusque là !

A déguster bien frais avec de l'eau gazeuse, plate, un peu de limonade, une rondelle de citron, quelques fraises... comme vous voulez ! Faites vous plaisir, c'est l'été !!

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Maintenant, à vous de jouer !

12 février 2014

..Duchesses... ou presque..

Voilà qui aurait accompagné à merveille la glace que je vous proposais hier si seulement j'avais réalisé ces deux recettes dans le même temps... En tous cas, la prochaine fois, j'y penserai ! J'ai fait ces petites duchesses (c'est classe hein !) pour grignoter entre collègues lors d'une réunion (et oui, on peut travailler et se faire plaisir quand même !). Normalement, la duchesse, c'est deux biscuits avec entre les deux une ganache au chocolat ou au praliné. Mais là, j'avais plutôt envie de proposer les palets uniquement, et pour ne pas perdre en gourmandise, j'ai décidé de les tremper un peu dans du chocolat... et oui, quand même ! Ca donne des petits biscuits parfaits pour accompagner un café ou un thé... ou une glace... ^-^... en tous cas, ça se mange tout seul croyez-moi !

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Pour 30 biscuits :

  • blancs d'oeuf : 2
  • beurre : 15 g
  • pincée de sel
  • poudre d'amande : 35 g
  • sucre en poudre : 35 g
  • fécule de maïs : 15 g
  • amandes effilées
  • chocolat noir

On commence par préchauffer le four à 220°C.

On bat les blancs en neige très ferme avec la pincée de sel.

On fait fondre le beurre.

Dans une terrine, on mélage ensemble la poudre d'amande, le sucre et la farine. On ajoute les blancs en neige en mélangeant doucement pour ne pas trop les casser. Puis on incorpore le beurre fondu.

On verse la préparation dans une poche à douille et on dresse des petits tas de pâte sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé. On parsème d'amandes effilées.

On fait cuire 6 minutes jusqu'à ce que les bords commencent à colorer. On laisse refroidir avant de décoller.

On fait fondre un peu de chocolat. Puis on trempe la moitié des biscuits dans le chocolat fondu. On pose sur une feuille de rhodoïd et on laisse cristalliser à température ambiante.

Ces "presques" duchesses (parce que les biscuits ne sont pas assemblés deux à deux et fourrés) sont délicieuses et se conservent assez bien dans une boîte métallique... enfin, si vous arrivez à obtenir quelques rescapés une fois que vous avez mis le nez dedans...

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Le larousse des desserts de Pierre Hermé

18 août 2014

..Pétoncles flambées au rhum..

Ok, c'est une photo prise rapido sur le coin de la table de la cuisine... j'avoue ! Les vedettes étaient pourtant bien là, mais la photographe très amateur que je suis n'a pas joué son rôle de direction... pas une seule seconde, j'ai cherché à envisager quel pouvait être leur meilleur profil, je leur ai pas demandé de faire la mou une seule fois, c'est à peine si j'ai pris le temps de cadrer... ce n'est pas la motivation qui manquait, mais bien l'impatience... l'envie de passer à la suite ! Mon objectif était simple : immortaliser la présence de ces petites stars pour partager le souvenir avec vous, mais garder le meilleur pour moi, enfin pour nous... le plaisir de les dévorer ! En fait, je les ai pas vraiment conviées dans ma cuisine pour une séance photo... mais avec une idée plus gourmande derrière la tête... Faire de ce dîner du 13 août un petit moment spécial pour Mr Pomme et moi... et oui, c'est pas tous les jours qu'on fête ses trois ans de mariage ! ^_^ Alors tant pis pour les photos, je voulais manger chaud et surtout ne pas rompre le charme de cette soirée par une séance photo qui met le repas en mode "pause"...

Un repas en n'amoureux ça prend quelque chose que je ne fais jamais : un repas en trois temps : entrée, plat et dessert. Enfin, en 5 temps, si on compte l'apéritif et le fromage... Et donc en entrée, avec une petite tranche de foie gras, il y avait ces petites cassolettes de pétoncles, flambées au rhum et justement parfumées avec un peu de poivre concassé et de paprika... un délice ! Ultra rapide à préparer, cette recette minute est vraiment parfaite si vous avez envie de vous faire plaisir, mais pas trop de temps à consacrer à la préparation. L'idéal donc pour un milieu de semaine où le travail ne manque pas !

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Pour une entrée légère (pour 2 personnes) :

  • pétoncles : 20
  • rhum : 1 cuillère à café
  • crème : 50 g
  • poivre concassé
  • paprika
  • sel

On commence par faire dorer les pétoncles avec un peu de matière grasse : beurre de cacao pour nous. Ca va très vite !

Quand elles sont cuites, on jette le rhum que l'on flambe immédiatement avec une allumette. Puis on sale légèrement, on poivre, on ajoute le paprika et la crème. On fait réduire légèrement. Et on sert immédiatement !

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Maintenant, à vous de jouer !

7 février 2015

..Brocolis grillés au citron et au cheddar..

Ok, on peut se demander s'il s'agit vraiment d'une recette ou plutôt d'un truc... je suis d'accord, mais j'aime tellement les brocolis préparés de cette manière que je n'ai pas pu résister à l'envie de la partager sur le blog. C'est ultra simple, mais très efficace et en même temps, on peut varier les plaisirs à l'infini en variant les épices ou en préparant des marinades différentes. Le brocolis est vraiment un légume génial que l'on sous-utilise en cuisine et c'est bien dommage !

2015

Pour 2 personnes :

  • brocoli : 1 tête
  • huile d'olive : 1 cuillère à soupe
  • jus de citron : 1 cuillère à café
  • cheddar rapé : 75 g
  • sel
  • poivre

On commence par préchauffer le four à 200°C.

On découpe les fleurettes de brocoli que l'on lave soigneusement et que l'on sèche bien. 

Dans un grand saladier, on place les fleurettes de brocoli. On ajoute l'huile, le citron et le cheddar. On sale et on poivre. Puis on mélange bien.

On place les brocolis sur une plaque recouverte de papier sulfurisé en veillant à ce qu'ils ne se superposent pas. On cuit environ 20 minutes. Les brocolis restent un peu croquants, mais bien parfumés. Ils accompagnent à merveille une viande blanche par exemple. Régalez-vous ! 

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Maintenant, à vous de jouer !

14 décembre 2014

..Crème glacée et coulis de canneberges à la vodka..

Comme tous les ans depuis que nous sommes au Canada, je ne résiste pas à la tentation des canneberges dès qu’elles pointent le petit bout de leur nez rouge sur le marché Jean Talon. La plupart du temps, je ne sais pas trop quoi en faire, alors elles restent sur mon étagère pendant un moment jusqu’à ce que je me décide à les mettre dans des financiers, un brownie ou autre. Mais cette année, je savais très exactement en quelle gourmandise j’allais les transformer et je peux vous dire que j’en salivais d’avance. Chez les Pommes, on peut pas dire qu’on respecte vraiment les saisons (à part pour les fruits et les légumes), en matière de cuisine c’est ce qu’on veut quand on veut,  du moment que ça fait plaisir… Autant dire qu’on a pas peur d’un bon mijoté en plein été et d’une glace en hiver si l’envie est là… Vous me voyez venir, la glace, on est bien d’accord, c’est toute l’année le bon moment pour s’en régaler… et avec un coulis de canneberges, acidulé comme il faut… c’est une vraie recette de saison !

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Pour 1 litre de glace environ :

Pour le coulis de canneberges :

  • canneberges : 250 g
  • jus d’orange : 120 g
  • vodka : 1 cuillère à soupe
  • sucre : 100 g de sucre

Pour la glace :

  • crème liquide entière : 250 g
  • lait entier : 500 g
  • sucre : 70 g
  • sirop de glucose : 40 g
  • jaune d’œuf : 6
  • sel : une grosse pincée

 1- Réalisation du coulis :

Dans une casserole, on place tous les ingrédients pour le coulis et on fait cuire à feu doux. On remue bien et on laisse mijoter afin que les canneberges éclatent. On laisse réduire encore un peu la sauce, puis on filtre le tout avec un tamis fin. On laisse refroidir puis on réserve au frais.

2- Préparation de la glace, J-1 :

On place ensemble la crème, le lait, le sel et le sirop de glucose dans une casserole. On fait chauffer.

Pendant ce temps, on bat ensemble les jaunes et sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Puis on verse le lait/crème chaude dessus en fouettant.

On replace le tout dans la casserole, et on fait cuire sans cesser de mélanger avec une cuillère en bois, jusqu’à ce que la crème atteigne 83°C, et qu’elle nappe la cuillère.

On retire alors du feu et on laisse refroidir à température ambiante avant de placer au frais pour toute la nuit.

3- Préparation de la glace :

Le lendemain, on récupère la crème. On fait turbiner en respectant les instructions du fabriquant de la sorbetière. Quand la glace est prête, on récupère le coulis de canneberges.

On verse un peu de coulis au fond d’un récipient allant au congélateur. On dépose par-dessus une partie de la glace. On redépose des coulées de coulis qu’on recouvre de glace, etc.

On place ensuite au congélateur pour que le tout prenne bien.

Après, y’a plus qu’à se régaler. Comme la glace est maison, elle est plus ferme que celles que vous trouvez dans le commerce, donc il ne faut pas hésiter à la sortir un peu avant pour avoir plus de facilité pour réaliser les boules.

L’association de la douceur de la crème glacée et de l’acidulé du coulis de canneberges est une vraie réussite ! A refaire vite vite vite !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : A tought for food

5 mars 2015

..Fondant à la pralinoise (sans gluten)..

On ne trouve pas de pralinoise ici au Québec (en tous cas, je n'en ai jamais vu), mais lors de mes passages en France j'en ramène quelques tablettes que je traite alors comme des petits trésors, attendant le moment opportun pour les sortir du placard. Oui mais voilà... à force d'attendre, arrive un moment où il faut les liquider parce que la date de péremption approche dangeureusement... Tant pis, c'est le genre de défi que je suis capable de relever. Autant dire que ça ne me dérange pas tellement de bousculer les plans culinaires pour faire une petite place à un dessert au bon goût de praliné... Cette fois, je me suis lancée dans un fondant. C'est assez riche, mais cela se mange en petite tranche fine. Juste de quoi satisfaire une belle envie de gourmandise après le repas sans aucune culpabilité !

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Pour 10-12 tranches fines :

  • pralinoise : 150 g
  • chocolat noir : 50 g
  • sucre : 80 g
  • beurre : 80 g
  • œufs : 3
  • fécule de maïs : 40 g

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On fait fondre ensemble le chocolat, la pralinoise et le beurre coupés en petits morceaux au bain-marie. Quand c'est bien lisse, on sort du feu.

On mélange ensuite les œufs avec le sucre et la fécule en veillant à ne pas laisser de grumeaux. On incorpore enfin le mélange précédent.

On verse dans un moule à cake chemisé avec du papier sulfurisé. On place au four chaud pour 28 minutes de cuisson environ. A la sortie du four, le fondantdoit être pas totalement cuit au centre. On le place alors immédiatement dans un bain d'eau glacée pour stopper rapidement la cuisson et permettre à la croûte légèrement croquante de se former. Le plus dur sera d'attendre le lendemain pour le manger parce que la patience ici fait partie intégrante de la recette pour profiter au maximum du plaisir de ce fondant ! Et oui, interdiction formelle de le toucher le jour même pour lui permettre de développer ces saveurs et de prendre la bonne texture. Sinon, c'est un vrai délice, croyez bien la gourmande que je suis !

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Maintenant, à vous de jouer !

18 avril 2015

..De Niro's cake (oh yes !)..

Comment ne pas succomber à ce délice... la promesse était trop attrayante pour moi en tous cas : du chocolat, des noisettes, pas de gluten et... Robert De Niro a la clé (ce n'est pas moi qui le dit, c'est Fabienne) ! Je n'ai pas résisté. Et comme je suis un peu trop gourmande, je l'ai fourré avec de la ganache au chocolat... Je voulais juste apporter ma petite touche perso pour donner envie à Monsieur De Niro de venir tester ma version... on sait jamais ! ^-^ En tous cas, même sans la présence de Mister Cinema, nous, on s'est régalé !  

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Pour 8-10 personnes :

  • chocolat : 170 g + 100 g
  • beurre mou : 120 g
  • sucre : 150 g
  • oeufs : 6 
  • poudre de noisettes : 170 g
  • crème liquide : 100 g
  • cacao amer en poudre
  • sucre glace

On commence par préparer la ganache en faisant chauffer la crème. On place les 100 g de chocolat dans un récipient. On ajoute la crème en trois fois en veillant à bien mélanger vigoureusement entre chaque ajout pour créer un moyan bien brillant. Quand la ganache est prête, on réserve.

On démarre ensuite la préparation du gateau. 

On préchauffe le four à 180°C. 

On mélange au fouet le beurre avec le sucre jusqu’à obtenir un résultat homogène, bien lisse. On incorpore les jaunes.

On fait fondre le chocolat, que l’on incorpore ensuite dans le mélange précédent avec une spatule.

On bat les blancs d’œuf en neige assez ferme. On incorpore délicatement les blancs au mélange, en alternant avec les noisettes en poudre.

On verse la préparation dans un moule à charnière et on enfourner pour 35 minutes environ.

Quand le gâteau est cuit (pas trop sec au centre, mais pas liquide non plus), on le sort du four et on laisse refroidir. Quand il est bien froid, on le découpe en deux. On garnit avec la ganache. 

On laisse reposer toute la nuit. Il est vraiment meilleur le lendemain. 

Le lendemain donc, on saupoudre avec le cacao amer et on décore une bande avec du sucre glace.

Reste plus qu'à se régaler en pensant à Robert ! ^-^

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Lost in London

17 janvier 2016

..Couronne des Rois à la pistache et liqueur d'orange..

Pour la première réunion avec les collègues de la fac, j'avais décidé d'amener une brioche pour fêter comme il se doit les Rois. Je n'ai pas vraiment le sentiment que la tradition de la galette des Rois soit très populaire ici au Québec, mais tout le monde est partant quand il s'agit de gourmandise alors... surtout qu'ici tout se mange... couronne comme fève. Et oui, comme je n'avais pas de fève, j'ai décidé de jouer la tradition jusqu'au bout en plaçant une amande dans la brioche (bon ok, la vraie tradition ça serait une fève ou un haricot sec, mais bon...), et pour la couronne... ben c'est la brioche qui est en forme de couronne, une idée prise chez Cookismo et que j'avais mise de côté depuis un moment. Le résultat en tous cas est super ! Autant sur le plan gustatif qu'esthétique.. Oui, j'avoue... je l'ai goûté malgré la présence plus que massive de gluten... un tout petit bout... juste assez pour me régaler (et accessoirement avoir mal au ventre tout l'après-midi... mais bon, tout se paie dans la vie il paraît ! ^-^).

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Pour une couronne (8 personnes)

Pour la brioche :

  • farine : 250 g
  • sucre  : 35 g + 15 g
  • levure sèche de boulanger : 4 g
  • beurre : 50 g + 40 g
  • lait : 120 g
  • oeuf : 1
  • pâte de pistache : 1 cuillère à soupe
  • pistache non salées, grossièrement concassées : 1 grosse cuillère à soupe

Pour le sirop :

  • sucre : 30 g
  • eau : 50 g
  • liqueur d'orange : 1 cuillère à soupe

Pour le glaçage

  • sucre glace : 4 cuillères à soupe
  • liqueur d'orange : 1 cuillère à café

1- Préparation de la brioche :

On commence par faire chauffer le lait pour qu'il soit à la température indiquée par le fabriquant de la levure pour son utilisation opimale. On place ensuite le lait dans la cuve du robot avec la levure, une cuillère à café de sucre (prélevée dans les 35 g) et 4 cuillères à soupe de farine (prises également dans les 250 g). On mélange et on obtient ainsi la base nécessaire pour le levain. On couvre et on laisse reposer 15 minutes, jusqu'à ce que le levain ait fait des bulles.

On récupère le récipient. On verse sur le levain la pâte de pistache, l'oeuf à température, le reste de la farine et le reste des 35 g de sucre. On commence à pétrir doucement avec le crochet pour simplement amalgamer les ingrédients. Puis on ajoute un tiers du beurre. On continue à pétrir a vitesse moyenne. Quand le beurre est absorbé dans la pâte, on ajoute le deuxième tiers, on poursuit le pétrissage jusqu';a absorption, puis on incorpore le dernier tiers. On pétrit encore une dizaine de minutes environ, jusqu'à ce que le pâton se détache bien de la cuve.

On boule bien la pâte. On couvre avec un torchon propre et légèrement humide, et on place dans un endroit à l'abris des courants d'air (perso c'est toujours dans le four que j'ai mis en route 3-4 minutes pour le réchauffer) pendant 1h30 ou jusqu'à ce que la pâte double de volume.

Quand la pâte a fini sa première levée, on récupère le pâton, on dégaze. On coupe la boule en 4 parts égales.

On place le beurre dans una casserole avec le sucre et on met à cuire doucement jusqu'à ce que le beurre fonde et que le sucre soit bien dissous.

Sur une feuille de papier sulfurisé, on étale un premier morceau de pâte en un rectangle très fin d'environ 25 cm sur 50 cm. On badigeonne avec le beurre sucré. On réserve.

On fait la même chose avec un autre morceau de pâte avec une autre feuille de papier sulfurisé (si on ne l'étale pas dessus, c'est impossible de la placer ensuite sur l'autre rectangle), puis on pose ce rectangle sur le précédent et on badigeonne avec le beurre.

On fait la même chose avec les deux morceaux de pâte restants, en utilisant la même feuille de papier sulfurisé. 

Avec un couteau bien tranchant, on découpe dans la largeur 8 bandes de 3 cm. On les enroule sur elle-même et on place les escargots dans un moule à savarin huilé ou comme moi, dans un moule à manqué transformé en moule à savarin en plaçant au centre un petit ramequin rond (et oui, on fait avec les moyens du bord !). On fai attention d'espacer de manière régulière les escargots pour leur laisser la place de lever.

On couvre à nouveau et on laisse lever environ 45 minutes jusqu'à ce que la brioche ait assez gonflée pour que les esacrgots se touchent bien.

On met à réchauffer le restant de beurre sucré.

On préchauffe le four à 180°C.

On badigeonne la brioche avec le restant de beurre. On saupoudre avec les pistaches concassées.

On met à cuire 25 minutes. 

Quand la brioche est cuite, on la démoule délicatement et on la laisse refroidir sur une grille.

2- Préparation du sirop :

On place tous les ingrédients dans une petite casserole et on fait bouillir 5 minutes. On laisse tièdir. Puis quand la brioche et le sirop sont tièdes, on la nappe généreusement avec le sirop.

On laisse refroidir.

3- Préparation du nappage :

On mélange simplement le sucre glace avec la liqueur d'orange. Si la pâte obtenue est trop liquide ou pas assez épaisse, on rajoute soit du sucre glace soit quelques gouttes de liqueur. On glace la brioche avec le nappage de manière irrégulière avec une petite cuillère. 

Pour la conserver parfaitement, quand elle est totalement refroidie, on replace la brioche dans le plat de cuisson et on couvre hermétiquement avec du papier alu. On enferme le tout dans un torchon propre. Et voilà. En tous cas, c'est comme ça que j'ai procédé en la préparant la veille pour le lendemain. J'avais quelques craintes, mais le lendemain, la texture était parfaite, elle était encore moelleuse. 

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Cookismo

8 mars 2016

..Tarte rustique aux poires et aux amandes..

On continue avec les tartes et aujourd'hui, on fait dans la simplicité et l'efficacité. Difficile de ne pas faire plaisir à tout le monde avec cette tarte tout en douceur, un peu rustique, et sans chichi ! Je n'ai pas beaucoup de temps pour cuisiner en ce moment, alors j'essaie de me simplifier un peu la vie avec des recettes qui ne me demandent pas trop de prépartion mais me permettent quand même de passer un peu de temps derrière les fourneaux (au risque d'éprouver de grosses crises de manque !). Ce qui est sûr c'est que Mr Pomme est ravi parce que les recettes les plus simples, façon grand-mère sont de loin ses préférées ! Qu'il en profite alors ! ^-^

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Pour 6 personnes :

Pour la pâte brisée :

  • beurre : 80 g
  • farine : 100 g
  • farine de petit épeautre : 60 g
  • sucre : 20 g
  • sel : 1 pincée
  • eau très froide : 2 cuillères à soupe

Pour la garniture :

  • poires (plutôt fermes) : 5
  • poudre d'amandes : 2 cuillères à soupe
  • sucre roux : 1 cuillère à soupe
  • farine : 1 cuillère à soupe
  • 1 jaune d'oeuf
  • quelques amandes effilées

1- Préparation de la pâte brisée :

On place dans un récipient la farine, le sucre et le sel et on mélange bien. Puis on ajoute le beurre froid coupé en morceaux et on "sable" avec les doigts. Quand le beurre est entièrement incorporé, on ajoute l'eau. On mélange avec les doigts jusqu'à ce que la pâte se forme, mais sans trop insister non plus.

On abaisse la pâte sur une feuille de papier sulfurisé de manière à faire un cercle. On place au frais pour une heure.

2- Préparation de la tarte :

Une fois le temps de repos de la pâte écoulée, on préchauffe le four à 190°C.

On pèle les poires et on les évide. On les découpe en tranches assez fines.

Dans un récipient, on dépose les tranches de poires. On verse dessus le sucre roux et la farine. On mélange bien pour enrober les tranches de poires.

On récupère la pâte. On saupoudre avec la poudre d'amandes et on dépose les poires dessus, puis on rabat les bord.

On dore la pâte avec le jaune, on dépose dessus quelques amandes effilées.

On place au four pour une heure environ, jusqu'à ce que la pâte soit joliment dorée et les poires tendres. Une fois cuite, on la place sur une grille pour qu'elle refroisse bien. Reste plus qu'à déguster !

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Maintenant, à vous de jouer !

26 février 2017

..Les gaufres express (recette de Marciatack)..

Vous l'avez compris, les gaufres sont à l'honneur chez les Pommes les week-ends en ce moment. Notre objectif : trouver la gaufre parfaite, et pour cela la formule est simple : un samedi, une recette ! Hier matin, par manque de temps (mais pas par manque de gourmandise !), je me suis tournée vers la recette de Marciatack puisqu'elle propose une recette rapide et sans temps de repos ! Une recette parfaite pour les situations d'urgence (oui oui, d'urgence !). La recette donne des gaufres moelleuses, vraiment moelleuses, et sincèrement, même si ce n'est pas encore celle qui fait fondre notre coeur de gourmands, elle fait vraiment bien le boulot. Vous ne serez pas déçus en la testant. Alors lancez-vous !

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Pour 6 gaufres (dépendamment de la taille de vos gaufres hein, les nôtres sont assez grosses) :

  • farine : 250 g
  • lait entier : 250 g
  • oeufs : 4
  • sucre : 75 g
  • huile : 30 g
  • poudre à lever : 16 g
  • sel : 2 grosses pincées

Dans une terrine, on tamise ensemble la farine, la poudre à lever et le sel. On creuse un puits et on ajoute le sucre puis les oeufs légèrement battus. On commence à mélanger.

On verse ensuite l'huile puis le lait en plusieurs fois en remuant bien pour obtenir une pâte lisse et homogène. 

On fait ensuite chauffer le gaufrier et on fait cuire les gaufres dans l'appareil bien chaud pour obtenir de belles gaufres bien dorées !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Marciatack


Notre classement pour le moment

  1. ..Gaufres à l'eau gazeuse.. des gaufres ultra ultra ultra légères, mais super croustillantes et fondantes. Se mangent sans faim ! Elles ne sont vraiment pas lourdes du tout, mais n'ont pas un goût de carton malgré l'absence de lait. Ici, on adore
  2. ..Gaufres légères de G. Mathiot.. des gaufres ultra légères, peu sucrées et assez neutres
  3. ..Gaufres crousti-moelleuses de C. Lignac.. des gaufres fondantes mais bien croustillantes si vous les dégustez dès qu'elles sortent du gaufrier
  4. ..Gaufres express de Marciatack.. parfaites pour des gaufres rapides, meilleures si elles ne sont pas trop cuites selon nous. Elles sont bien moelleuses, mais manquent un peu de légèreté
23 mars 2017

..Gaufres légères de Ginette Mathiot..

Chaque week-end, je poursuis avec assiduité (vous pouvez me faire confiance !) ma recherche de la gaufre parfaite. Ma 3ème tentative m'a amenée à tester cette recette traditionnelle de Ginette Mathiot, qui semble avoir été la meilleure amie de la ménagère des années 70 et 80 avec son classique La pâtisserie pour tous. C'est chez Pascale de C'est moi qui l'ai fait que je suis allée dénicher cette recette qui donne des gaufres légères... mais légères... un régal !

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Pour 6 à 8 gaufres :

  • farine : 200 g
  • lait entier : 250 g
  • gros oeufs : 3
  • sucre : 30 g
  • huile de pépin de raisin : 10 g
  • sel : 2 grosses pincées

On commence par verser la farine dans un grand récipient. On ajoute le sel et le sucre. On mélange bien et on creuse un puits.

On y verse l’huile et les jaunes d'oeuf. Puis on ajoute le lait doucement. On mélange tranquillement les liquides dans le puits en incorporant progressivement la farine. On mélange bien jusqu'à obtenir une pâte lisse et sans grumeaux.

On bat ensuite les blancs en neige ferme, et on les incorpore délicatement à la préparation précédente en soulevant bien le tout avec une spatule. 

Il ne reste plus qu'à faire chauffer le gaufrier et à cuire les gaufres dans l'appareil bien chaud pour obtenir de belles gaufres bien dorées et légères... légères !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : C'est moi qui l'ai fait


Notre classement pour le moment

  1. ..Gaufres à l'eau gazeuse.. des gaufres ultra ultra ultra légères, mais super croustillantes et fondantes. Se mangent sans faim ! Elles ne sont vraiment pas lourdes du tout, mais n'ont pas un goût de carton malgré l'absence de lait. Ici, on adore
  2. ..Gaufres légères de G. Mathiot.. des gaufres ultra légères, peu sucrées et assez neutres
  3. ..Gaufres crousti-moelleuses de C. Lignac.. des gaufres fondantes mais bien croustillantes si vous les dégustez dès qu'elles sortent du gaufrier
  4. ..Gaufres express de Marciatack.. parfaites pour des gaufres rapides, meilleures si elles ne sont pas trop cuites selon nous. Elles sont bien moelleuses, mais manquent un peu de légèreté
8 novembre 2011

..Petits choux de Bruxelles à la carbonara..

Une recette moins glamour qu'hier, je vous l'accorde, mais franchement... qu'est-ce que c'est bon ! J'adore les choux de Bruxelles (je n'aurais jamais pensé dire ça un jour, mais c'est vrai !), et pour mes retrouvailles avec ces petites choses toute verte, je me suis dis qu'une version carbonara pourrait bien le faire... Et j'avais bien raison, ça le fait ! Les photos ne sont pas très flatteuses, mais je vous assure que vous ne serez pas déçus si vous vous lancez dans cette recette.

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Pour 2 personnes :

  • 250 g de choux de Bruxelles
  • 1 échalote
  • huile d'olive
  • 150 g de lardons fumés
  • 200 ml de crème liquide
  • 50 g de parmesan
  • poivre
  • piment d'Espelette

On commence par faire blanchir les choux 5 minutes dans l'eau bouillante. On les passe puis on les replonge dans une nouvelle eau bouillante pour les cuire 15 minutes.

Quand ils sont tendres, on les rince et on réserve.

Dans une cocotte, on fait revenir l'échalote finement coupée avec l'huile d'olive. On ajoute les choux coupés en deux et quand ils commencent à dorer, on incorpore les lardons.

Quand tout est bien cuits, on ajoute la crème et le parmesan fraîchement râpé. On poivre et on assaisonne avec un peu de piment. Et on sert aussitôt.

Voilà comment se régaler à moindre frais. Et puis, les choux de Bruxelles, ça change un peu !

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Maintenant, à vous de jouer !

13 août 2012

..Pancakes un peu breton..

Vous n'imaginez pas (enfin, si peut-être que vous êtes dans mon cas... ça me rassurerait d'ailleurs et ça ferait taire Mr Pomme !) le nombre (et les kilos du coup...) de farines différentes que j'ai dans mon tiroir magique... Quand j'en vois une nouvelle, c'est plus fort que moi, faut que je teste. Mais du coup, j'ai des paquets entamés partout. Et faut que je fasse le vide. Alors pour quelques temps, j'abandonne les céréales le matin et je reviens aux pancakes qui vont me permettre de liquider un peu les stocks.

Pour démarrer, j'ai décidé de m'attaquer à la farine de sarrasin... j'en ai près de deux kilos... Va falloir que je me creuse la tête un peu pour utiliser ce qu'il reste parce que c'est sûr que c'est pas les 60 g de cette recette qui va me permettre d'en venir à bout, mais bon... disons que c'est un bon début !

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Pour 16 pancakes :

  • 60 g de farine de sarrasin
  • 100 g de farine T65
  • 230 ml de lait
  • 20 g de sucre
  • 1 pincée de sel
  • 2 cuillères à café de poudre à lever
  • 1 oeuf

On commence par verser les farines, le sucre, la poudre à lever et le sel dans une terrine. On creuse un puits au centre et on y casse l'oeuf.

On mélange doucement l'oeuf avec la farine puis on ajoute le lait en plusieurs fois.

On fait chauffer une crêpière, puis, quand elle est bien chaude, on dépose des petites louches de pâte que l'on fait cuire des deux côtés quelques minutes.

On sert au fur et à mesure avec ce que l'on veut... caramel, miel, sucre, confiture... ou pâte à tartiner... oui... un petit pot de nutella, normalement banni de ma cuisine, a atterri par "erreur" dans mes placards... faut bien le finir... on va pas gâcher !

Les pancakes sont beaucoup moins épais qu'habituellement, c'est certainement l'effet de la farine de sarrasin. Par contre, ils restent délicieux ! La farine de sarrasin leur apporte un petit goût qui changent vraiment et c'est très agréable ! J'adore !

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Maintenant, à vous de jouer !

 

9 mai 2012

..Le far qui améliore la vue..

C'est le principe du far me direz-vous, il est bien là pour guider les marins. Mais ce n'est pas de ce far dont je vous parle aujourd'hui, mais de la version plus gourmande qui atterrit dans votre assiette à la fin de votre repas. Et si vous vous demandez quel rapport entre lui et vos yeux... Et bien, ce sont les myrtilles qui, en plus d'être bonnes pour votre mémoire, protègent vos yeux grâce à leur pouvoir anti-oxydant. Ca donne de bonnes raisons de les cuisiner, non. Pour des raisons purement médicales bien sûr, pas de gourmandise derrière ça... Enfin, si un peu quand même parce qu'il faut reconnaître que Mr Pomme adooooooore les myrtilles, ces petites billes délicieusement bleues et violines...

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Pour 6 personnes :

  • 500 ml de lait (1/2 écrémé pour moi)
  • 120 g de farine
  • 70 g de sucre
  • 4 œufs
  • 250 g de myrtilles surgelées

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On mélange la farine et le sucre. On casse deux œufs dedans et on travaille jusqu'à obtenir une pâte homogène. On ajoute ensuite un oeuf et on mélange, puis le dernier et on remélange.

On verse ensuite progressivement le lait sans cesser de remuer.

Dans un moule à manqué, on verse les myrtilles au fond, et on recouvre avec l'appareil.

On place au four pour 45 minutes, et voilà. Vite fait et délicieusement fait.

Une fois cuit, on laisse bien refroidir. Personnellement, on le préfère bien froit, le lendemain donc. Il faut donc s'armer d'un minimum de patience, mais ça vaut le coup ! Terrible !

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Maintenant, à vous de jouer !

10 juin 2013

..Un peu comme un cobbler aux cerises et bleuets..

Bon, il était temps que je revienne... je viens d'hiberber plus de 2 mois... je n'ai pas vu le temps passer, c'est dire si j'étais occupée et si le terme "hiberner" est loin du fol emploi du temps que j'ai eu ces dernières semaines. Mais là, même si ce n'est pas franchement mieux, j'ai envie de reprendre la direction de ma cuisine, et de mon blog donc.

Après un mois de mai de rêve à Montréal, le soleil joue à cache-cache ces derniers jours, mais on survit quand même... et par rapport à ce qui se passe en Europe, on se plaint pas (enfin, on essaie de pas se plaindre... ^-^). Ce retour en douceur va mettre à l'honneur Mon fruit préféré... la cerise... depuis deux semaines, elles ont trouvé le chemin de mon panier et je les prépare un peu à toutes les sauces. Et comme j'hésitais entre un gâteau et un cobbler, ben je me suis lancée dans une espèce de mix plutôt réussi et vraiment délicieux ! Et avec quelques bleuets surgelées qu'il me restait, l'association était vraiment très agréable. C'est quand même chouette de cuisiner à nouveau...

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Pour 8 personnes environ :

  • 420 g de farine
  • 1 cuillère à soupe de poudre à lever
  • 6 cuillères à soupe de sucre
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 90 g de beurre
  • 70 g de fromage frais
  • 290 g de lait
  • 400 g de cerises
  • 200 g de bleuets

On place la farine, 4 cuillères à soupe de sucre, la poudre à lever et le sel dans un saladier. On mélange bien.

On coupe le beurre froid en morceaux et le fromage frais également. On place le tout dans la farine et on mélange du bout des doigts pour sabler la préparation.

On verse ensuite le lait en une seule fois et on mélange rapidement sans trop travailler la pâte.

On préchauffe le four à 180°C.

Dans un plat allant au four, on dépose les cerises dénoyautés, les bleuets et on saupoudre avec le reste de sucre.

On étale la pâte sur 6 mm environ, et on découpe des cercle de 3-4 cm de diamètre que l'on place sur les fruits en les supersposant un peu.

On place le plat au four pour 35 minutes environ.

Comme il restait de la pâte, j'ai re-étalé rapidement pour pas trop la travailler sur environ 1,5 cm cette fois. J'ai découpé des 5-6 cm et je les ai placé au four sur une plaque. C'était parfait pour le petit déj' après un passage au toasteur et un peu de beurre dessus. Ca ressemblait pas mal à des scones. Là par contre, ils vont au four seulement une dizaine de minutes.

Pour ce qui est du gâteau... avec le fondant des fruits ultra juteux, le croquant sur le dessus, le moelleux en dessous, c'était vraiment pas mal, mais pas mal du tout !

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Maintenant, à vous de jouer !

8 décembre 2013

..Et si je vous emmenais en Thaïlande ? # 1 Bangkok..

En mai 2011, Mr Pomme et moi, nous avons passé un MERVEILLEUX mois en Thaïlande. C'est un peu par hasard que nous avons atterri en Thaïlande d'ailleurs, rare pays d'Asie où l'on pouvait partir sans visa... Et oui, la destination d'origine était le Japon et quelques jours avant le départ, il y a eu la catastrophe de Fukushima dont tout le monde se rappelle... Alors il a fallu se réorganiser rapidement (mais loin de moi l'idée de me plaindre quand on sait ce qu'on vécu et vivent encore des milliers de japonais... changer ses plans de vacances, à côté, c'est une broutille...), et on a choisi le pays du sourire.

En ce moment, je trie un peu mon énorme stock de photos, alors comme il n'y a pas que la cuisine dans la vie, j'ai envie de vous proposer quelques instants de ce voyage magique de temps en temps... J'espère que vous ne m'en voudrez pas de ces infidélités à mes casseroles, mais j'avais envie de faire aussi de choses nouvelles et de consacrer mon billet du dimanche à l'évasion !

Aujourd'hui, je vous emmène à Bangkok. Nous avions lu partout que Bangkok ne présentait pas un grand intérêt et que quelques jours suffisait pour y visiter les monuments principaux... On avait prévu que 4 jours du coup, mais finalement nous sommes restés plus longtemps parce qu'on a trouvé que la ville avait un certain charme contrairement à ce qu'on en savait... On a adoré se perdre dans ces nombreux quartiers plein de vie. C'est sûr qu'on est pas toujours dans l'ambiance carte postale, mais ce n'est pas vraiment ce qu'on aime en voyage... on préfère se mêler à la foule et regarder les gens vivre. Et à Bangkok, on a été servi !

Mais aujourd'hui, c'est loin de l'animation que nous allons puisque je vous emmène visiter le Suan Pakkad Palace... une oasis de sérennité au milieu de l'agitation... Mais avant ça, on prend le métro... Vous ne le savez certainement pas, mais j'adore le métro !

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Je vais pas vous refaire la visite guidée, hein, mais juste vous en dire quelques mots quand même... Le Suan Pakkad Palace est l'ancienne résidence du prince Chumbhotpong Paripatra. C'est en fait un ensemble de pavillons traditionnels (huit en tout), entourés de verdure... C'est vraiment magique, très calme et une belle occasion de se protéger de la chaleur étouffante de la ville. J'ai d'autant plus aimé cette visite qu'il n'y avait pas foule de touristes... Il y a beaucoup d'antiquités (instruments de musique, sculptures, divers objets appartenant à la famille royale, peintures, objets de cérémonie, porcelaines chinoises, masques de théâtre traditionnels, etc.), notamment une magnifique barge royale du 19ème siècle si ma mémoire est bonne. Le plus impression est le pavillon de laque. Il date du 17ème siècle et provient d'Ayudhya... Oui, on l'a démantelé pour le ramener à Bangkok... Mais c'était pour le restaurer et le préserver parce qu'apparemment, il était malmené là où il était... En tous cas, maintenant il est magnifique avec ses laques noires et ses peintures or... Et c'était tellement agréable de marcher sur les planchers de bois pieds nus...

Avant de pénétrer dans le palais, l'environnement ressemble à ça...

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et puis... magie !

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Et parce que celle-là, je l'adore même si elle n'a rien à voir !

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A bientôt !

6 août 2014

..Brioche au beurre de la maison Ladurée..

Cette recette de brioche était dans ma to-do list depuis 2010... griffonée sur le coin d'un cahier, je ne sais plus sur quel blog je l'avais repérée, mais je sais à qui elle appartient : Ladurée ! La maison célèbre pour ses macarons (re re regoûtés il y a quelques semaines à Paris... avec un coup de coeur pour celui à la menthe glaciale...) fait également de très bonnes brioches... et si je doute fort que la recette qui circule sur le net soit la vraie de vraie de la maison, en tous cas, elle donne de succulentes brioches dont la bonne odeur de beurre rappelle vraiment celles de la pâtisserie. Autant dire qu'intolérance au gluten ou pas, je me suis autorisée une bouchée à la sortie du four... Divine gourmandise !

La recette est en plus très simple à réaliser, même s'il faut avoir un peu de temps devant soi étant donné qu'il y a trois séances de pousse... mais bon, en même temps, personne nous demande de rester devant son pâton à essayer de concentrer les ondes alpha et beta de notre cerveau pour en favoriser la levée... Autrement dit, entre deux poussées, la vie continue !

Désolée pour les photos de qualité moyenne prise de nuit (20h30 c'est la nuit ici... -_-) sur le bord de la table de la cuisine, mais comme elles étaient destinées au congélateur, j'ai pas trop eu le choix si je voulais partager la recette avec vous.

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Pour 12 brioches individuelles :

  • farine : 280 g
  • sucre : 40 g
  • sel : 5 g
  • levure sèche : 12 g
  • oeufs : 4
  • beurre : 180 g

On commence par battre les oeufs en omelette.

Dans la cuve du robot, on dépose la farine avec le sucre, le sel et la levure. On mélange bien pour tout amalgamer.

On creuse un puits et on verse le oeufs, on lance le pétrissage de la pâte. Quand les oeufs sont bien incorporés, on ajoute le beurre coupé en morceaux en plusieurs fois tout en pétrissant. On veille à ce que tout le beurre soit intégré à la pâte avant d'en ajouter à nouveau. Cela peut durer un peu longtemps... il y a quand même 208 g de beurre à incorporer... On poursuit le pétrissage jusqu'à ce que la pâte se détache de la cuve.

On place la pâte dans un saladier légèrement huilé, on couvre sous un linge propre et on laisse levée à température ambiante pendant environ 2h30 (le temps pour la pâte de facilement doubler de volume).

Une fois ce temps passé, on appuie sur le pâton avec le poing pour dégazer la pâte. Elle reprend alors son volume initial. On couvre à nouveau et on place au frais pour 4 heures.

Une fois ce temps passé, la pâte a de nouveau levé. On la récupère et on la place sur le plan de travail légèrement fariné. On divise en 12 parts (d'environ 60 g) que l'on va bouler puis déposer dans des caissettes ou directement dans des empruntes à muffins.

On laisse les brioches lever à nouveau 30 minutes à température ambiante.

On préchauffe le four à 180°C. Puis quand la température est atteinte, on fait cuire les brioches 15 minutes. Personnellement, je ne les ai pas dorées à l'oeuf, mais si ça vous dit, vous pouvez le faire juste avant de les enfourner.

Quand elles sont cuites, on les laisse gentillement refroidir sur une grille et on se régale !!! Natures ou avec un peu de confiture, elles sont délicieuses. Peut-être un peu grasses, mais en même temps, c'est pas tous les jours qu'on mange de la brioche hein !

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Maintenant, à vous de jouer !

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