750 grammes
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Bien fait pour ta pomme !
20 mars 2012

..Clafoutis aux fruits rouges, version "sans"..

Au départ, je voulais juste combler une envie irrépressible de clafoutis alors que les oeufs brillaient par leur absence dans mon frigo... J'ai donc commencé à farfouiller sur le net pour trouver comment faire pour faire comme si justement... Et là, l'arrow-root est apparu comme mon sauveur et ça tombait bien, j'en avais dans mes placards ! Une cuillère à soupe pouvait remplacer un oeuf ai-je lu, moi qui me contentait de l'utiliser comme liant dans mes sauce à la manière d'une quelconque fécule... pfff ! Ni une ni deux, j'ai improvisé une version en me disant que, de toutes façons, qui ne tente rien n'a rien. Et sans trop réfléchir, j'ai opté pour une version végan. Et à la dégustation, la révélation... où sont les oeufs ? où est le beurre ? où est le lait ? Pas ici en tous cas ! Mais le goût ! Oh oui, oh oui ! Mr Pomme n'y a vu que du feu... et en plus, là, pas besoin de culpabiliser devant la part énorme qui a servi à assouvir mon envie... oh, non, aucune culpabilité !

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Pour 8 personnes :

  • 500 g de lait d'amande
  • 30 g de purée d'amande blanche
  • 20 g d'arrow-root
  • 80 g de farine
  • 80 g de sucre roux
  • vanille liquide
  • 250 g de fruits rouges

On préchauffe le four à 180°C.
On commence par mélanger ensemble la farine, l'arrow-root et le sucre. On creuse un puits au centre, on dépose la purée d'amande et la vanille liquide, et on mélange légèrement. Puis on ajoute progressivement le lait sans cesser de remuer, de manière à éviter la formation de grumeaux.
On place les fruits rouges au fond du plat. On verse dessus l'appareil. Et hop, au four pour 45 minutes.
On laisse bien refroidir avant de servir. Et là, c'est bluffant. Honnêtement, si vous ne savez pas qu'il n'y a pas d'oeuf, pas sûr que vous soyez capable de le déceler. Et tous cas, c'est plus léger, plus digeste du coup et toujours aussi bon ! Adopté chez les pommes !

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Maintenant, à vous de jouer !

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26 avril 2012

..Petite panna cotta vanillée et sa compotée de pommes au Calvados..

Cette recette date un peu, mais elle attendait patiemment dans les méandres de mon ordi d'être mise à l'honneur. Je ne pouvais plus résister longtemps à ses appels désespérés, alors là voilà : la petite verrine façon panna cotta vanillée et ses petites pommes fondantes au calvados !

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Pour 6 verrines :

  • 600 ml de crème liquide
  • 60 g de sucre
  • 1 gousse de vanille
  • 3 feuilles de gélatine
  • 2 pommes
  • 1 cuillère à soupe de calavdos
  • 1 noix de beurre

On commence par tremper la gélatine dans un bol d'eau bien froide.

On place la crème dans une casserole avec le sucre et la gousse de vanille que l'on fend. On porte à ébullition. On récupère la vanille et on prélève les graines que l'on replace dans la crème. On couvre et on laisse infuser une petute dizaine de minutes.

On remet la crème à chauffer rapidement. On égoutte la gélatine. On incorpore ensuite cette dernière dans la crème et on mélange bien pour la dissoudre entièrement.

On verse la crème dans des verrines. On laisse refroidir à température ambiante, puis on place au frais pour 5 heures.

On prépare pendant ce temps la compotée de pommes. On pèle les pommes, et on les coupe en petits dès. On fait chauffer le beurre dans une casserole, on dépose les pommes avec le calvados. On laisse cuire pendant quelques minutes jusqu'à ce que les pommes soient bien fondantes.

On laisse refroidir avant de déposer une bonne cuillère de cette préparation sur les panna cotta.

Personnellement, je préfère faire ça au dernier moment et du coup déposer les pommes encore tièdes sur la panna cotta bien froide. Le contraste est on ne peut plus agréable, mais ça c'est selon les goûts !

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Maintenant, à vous de jouer !

7 mai 2012

..Tarte au Beaufort... parce qu'il n'est jamais trop tard pour découvrir des blogs gourmands..

C'est à croire que je ne passe pas encore assez de temps sur internet, à bloguer (ce n'est pourtant pas l'avis de Mr Pomme croyez-moi ! ^-^)... Et oui, aussi difficile à croire, vu sa popularité, Mathilde en cuisine m'avait totalement échappé... Mais en même temps, c'est très bien ainsi, parce que j'ai éprouvé un plaisir certain à le décourvrir il y a peu... de long en large... et de large en long... Bref, tous les billets y sont passés. Et je peux vous dire que depuis : 1° Je me suis inscrite à sa news pour ne plus rien louper, 2° Ma to do-list s'est considérablement allongée, 3° On s'est bien régalé parce que les essais ont commencé !

C'est le cas par exemple de cette tarte au fromage... comme Mathilde le dit si bien "SUCCULENTE" ! J'ai gardé la recette de pâte à tarte aux petits Suisses dont je suis fan, mais j'ai tout gardé de la garniture... Topissime !

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Pour une tarte de 22 cm de diamètre :

Pour la pâte :

  • 160 g de farine
  • 1 pincée de sel
  • 1 cuillère à soupe de graines de pavot
  • 3 petits Suisses
  • 4 cuillères à soupe d'huile d'olive

Pour la garniture :

  • 250 g de lait
  • 30 g de beurre
  • 1 oeuf
  • 100 g de Beaufort
  • 30 g de farine
  • noix de muscade
  • sel
  • poivre

1- La pâte à tarte :

Pour cette pâte à tarte, rien de bien compliquer puisqu'il suffit de mélanger tous les ingrédients. On travaille la pâte avec les doigts sans trop malaxer quand même, il faut juste amalgamer les ingrédients.

Puis on laisse reposer au frais pendant 3 heures.

Puis on récupère la pâte, et on l'étale finement en farinant légèrement. On chemise un moule avec la pâte.

2- La garniture :

On commence par préchauffer le four à 200°C.

On fait fondre dans une casserole sur feu doux, le beurre avec la farine. Pendant ce temps, on fait bouillir le lait. Quand le mélange beurre/farine est homogène, on verse le lait. On ne remue bien.

On ajoute la noix de muscade, le sel et le poivre. On obtient une préparation plutôt épaisse.

On sort alors du feu. Et on incorpore alors le fromage préalablement râpé et l'oeuf.

On verse la garniture sur le fond de tarte et on place au four pour 35 à 40 minutes.

Alors, le truc top avec cette tarte, c'est que c'est délicieux chaud, tiède ou encore froid le lendemain ! Avec une salade verte, ça fait un repas terrible. La garniture est goûteuse et terriblement fondante ! Bref, vous l'aurez compris : j'adore ! Merci Mathilde !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Mathilde en cuisine

16 mai 2012

..Elle est pour qui la fève ?..

Voilà une tarte vide congélo... enfin, pour nous ça a plutôt été "sauve congélo", ou du moins ce qui pouvait en être sauvé... Nous avons eu en effet un petit soucis avec notre congélateur acheté il y a quelques mois et j'ai mis un peu de temps à m'en rendre compte. Dire que l'ancien fonctionnait très bien mais qu'il consommait un peu trop à cause des joints défectueux. Et comme changer les joints coûtait plus cher que changer le congélo (bienvenue dans le monde de l'hyperconsommation...), notre conscience écolo nous a sussuré que c'était le bon moment pour investir dans un appareil basse consommation... Quelle belle idée quand je vois tout ce qui est parti à la poubelle !

En fait, c'est en voulant faire une glace (qui a dit que la gourmandise était un vilain défaut ?!) que je me suis aperçue que quelque chose clochait puisque quand j'ai voulu récupérer l'accumulateur de froid déposé 5 jours plus tôt, l'eau n'avait toujours pas pris dedans... On a mesuré la température et on s'est rendu compte qu'il faisait seulement -10° dedans... Et quand on a commencé à farfouiller, on a trouvé des morceaux de viande franchement pas appétissants, mais alors pas du tout... Du coup, on a quasi tout jeté (dont 1 magret et 2 foie gras... mais aussi pas mal de viande plus ordinaire)... Au-delà de l'argent mis en l'air, jeter de la nourriture reste une chose à laquelle je n'arrive pas à m'habituer, mais bon, ne sachant pas depuis combien de temps la bête disfonctionne... hein ! Rendez-vous dans 2 mois pour savoir si on est mort... Paraît que la listeria peut mettre 70 jours avant de manifester le bout de son nez... Je peux vous dire que le magret dont je vous faisais des éloges hier encore me laisse un amer goût à la lumière des événements d'aujourd'hui...

Bref, ces fèves ont été sauvées parce qu'elles n'étaient dans le congélateur que depuis 4 jours... C'est toujours ça de pris...Enfin, cette tarte reste délicieuse malgrè tout ! Même si à l'heure où je vous écris, j'ai la nausée... faut dire que j'ai une légère tendance à la somatisation... ah... ils vont être longs ces prochains 70 jours pour l'hypocondraique que je suis...

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Pour 6 personnes :

Pour la pâte :

  • 160 g de farine
  • 1 pincée de sel
  • 3 petits Suisses
  • 30 g d'huile d'olive
  • 1 cuillère à café de cumin

Pour la garniture :

  • 200 g de mascarpone
  • 150 ml de lait
  • 2 oeufs
  • 200 g de fèves pelées et cuites
  • 150 g de lardons allumettes nature
  • poivre
  • 100 g parmesan
  • 1 cuillère à soupe de garines de sésame

1-Préparation de la pâte à tarte :

Pour cette pâte à tarte, rien de bien compliquer puisqu'il suffit de mélanger tous les ingrédients. On travaille la pâte avec les doigts sans trop malaxer quand même, il faut juste amalgamer les ingrédients.

Puis on laisse reposer au frais pendant 3 heures.

Puis on récupère la pâte, et on l'étale finement en farinant légèrement. On chemise un moule avec la pâte.

2- La garniture :

On commence par préchauffer le four à 200°. On garnit le moule avec la pâte.

On bat ensemble les oeufs et le mascarpone jusqu'à obtenir un appareil bien crémeux. On verse petit à petit le lait. Puis on incorpore le parmesan. Et on poivre.

On place sur le fonde la pâte les fèves et les lardons, puis on recouvre avec l'appareil. On saupoudre avec les graines de sésame.

On fait cuire 40 minutes.

A la sortie du four, on laisse reposer une dizaine de minutes avant de découper et de servir aussitôt avec une bonne salade. Délicieuse chaude, elle l'est encore tiède et tout autant froide le lendemain.

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Maintenant, à vous de jouer !

17 avril 2012

..Macarons chocolat et griottine..

Je vous le disais hier, il y avait dans ma valise pour ce week-end familial quelques jolies gourmandises : des cannelés au chocolat donc, et quelques macarons (sans compter que j'ai fait des cookies et des éclairs au chocolat... mais ça, c'était pour la bonne cause... il fallait tester le nouveau four de ma maman ! Je me suis donc sacrifiée !). Vous l'aurez compris, ce week-end a été une catastrophe calorifiquement parlant (oui, ça se dit puisque je l'écris...), mais bon, qu'est-ce que c'était bon !
Comme on ne change pas une équipe qui gagne, j'ai refait la recette de Ch. Felder qui me réussit plutôt bien !

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Pour 40 macarons environ :

Ingrédients pour les coques :

  • 200 g de sucre glace
  • 200 g de poudre d'amandes
  • 200 g de sucre semoule
  • 150 g de blancs d'oeuf
  • 50 g d'eau
  • colorant violet

Ingrédients pour la ganache :

  • 200 g de crème liquide
  • 200 g de chocolat noir
  • 40 griottines

1- Préparation de la ganache :

On commence par hacher finement le chocolat avec un gros couteau. On fait ensuite bouillir la crème et on la verse en 3 fois sur le chocolat et remuant bien entre chaque incorporation. On filme et on réserve au frais.

2- Préparation des coques :

On préchauffe le four à 150°.

On commence par verser la poudre d'amandes et le sucre glace dans la cuve du mixeur et par le mixer par à-coup pour affiner le tant pour tant. On tamise ensuite le mélange dans un récipient.

On place la moitié des blancs dans la cuve d'un robot. On verse les blancs restants dans le tant pour tant, et on mélange avec une spatule pour obtenir une pâte d'amandes très épaisse.

Dans une casserole à fond épais, on place le sucre semoule avec l'eau, puis on fait chauffer sur feu moyen en surveillant la température avec un thermomètre. Pendant ce temps, on démarre doucement la montée des blancs en positionnant le robot sur la première vitesse.

Quand le sucre atteint 114°C, on fait tourner le batteur à pleine vitesse.

Quand le sucre atteint 118-119°C, on retire immédiatement la casserole du feu, on baisse la vitesse du batteur au premier niveau et on verse doucement le sucre cuit sur les blancs montés.

Quand la totalité du sirop est versé, on remonte le batteur à pleine vitesse pour faire refroidir les blancs. Quand ils sont à environ 30-35°C, on arrête le batteur. La meringue obtenue doit être lisse et brillante et assez consistante, formant un bec d'oiseau au bout du fouet.

On prélève alors une petite quantité de meringue que l'on incorpore à la pâte d'amandes pour la détendre. Puis on ajoute le reste de meringue en une seule fois. On mélange alors avec la spatule pour obtenir une pâte homogène et semi-liquide, formant un ruban quand on la soulève.

On divise la pâte en deux et on ajoute du colorant violet : la pointe d'un couteau dans la première et le double dans la seconde pour obtenir deux nuances. On mélange rapidement pour ne pas trop retravailler la pâte.

On verse la pâte dans une poche munie d'une douille lisse de 10mm. On fait ensuite des petits tas de 3-4 cm sur une plaque de cuisson recouverte d'une feuille de papier sulfurisé.

Lorsque l'ensemble de la pâte a été utilisée, on tapote légèrement la plaque pour égaliser la surface des macarons et on enfourne immédiatement pour 10 minutes environ (mais cela dépendra de votre four, il faut faire des essais. Moi, c'est 10 minutes à 160° en mode chaleur tournante).

On laisse ensuite refroidir complétement les coques sur une grille.

Là, je me suis un peu amusée côté déco. J'ai mélangé quelques gouttes d'eau dans un peu de colorant en poudre violet. J'ai trempé les poils d'une brosse à dents dedans et j'ai fait des tracés sur les coques. J'ai aussi collé parfois des motifs sucrés avec un peu de miel... Bref, les macarons, c'est l'occasion de débrider notre imagination pour les rendre encore plus festifs !

3- Montage des macarons :

On creuse légèrement les macarons à l'intérieur avec le pouce. On verse la ganache dans une poche à douille et on garnit la moitié des coques avec la préparation. On dépose une griottine au milieu, et on referme avec une seconde coque.

On place dans une boîte métallique au frais pour 24 à 48 heures avant de les déguster.

J'ai tenu le coup et je n'en ai pas goûté un seul avant d'arriver chez mes parents. Ils ont eu chacun leur petite boîte et nous avons mangé le reste au dessert tous ensemble... Quelle belle gourmandise que ces petites choses !

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Maintenant, à vous de jouer !

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22 mai 2012

..Gâteau ultra fondant aux amandes et cerises amarena..

Avec cette délicieuse ricotta maison, je me suis lancée dans la réalisation d'un gâteau repéré depuis quelques temps chez Talons hauts & cacao et plébiscité pour son absence d'oeuf. C'est le deuxième que je réalise dans ce style, et j'aime toujours autant ! Surtout que maintenant que Mr Pomme a été guéri de son aversion pour l'amande... j'en use et abuse. Et fait j'ai oeuvré en sous-marin, je lui ai fait manger des gâteaux en ajoutant progressivement, en traître, de la poudre d'amande... et augmentant progressivement la dose... juqu'à cette bouchée magique, celle de  la 15ème fois (la  fameuse tentative tant attendue par tous les parents devant un enfant réticent !), où l'amande est entrée dans son répertoire culinaire ! Et heureusement... parce que ce gâteau est tellement amandée qu'il s'approche presque d'une frangipane... J'exagère, mais à peine !

En tous cas, il est délicieux. Et si je ne changeais qu'une chose ça serait supprimer l'huile parce qu'au final, je ne suis pas sûre qu'elle soit si indispensable. J'avais déjà bien réduit la quantité par rapport à ce qui était préconisée, et je pense qu'elle peut carrèment être supprimée sans pour autant assécher le gâteau. Et comme je n'avais pas de cerises, j'ai avantageusement pris le parti de les remplacer par des cerises amarena... Yummy !

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Pour un cake de 25 cm :

  • 215 g de ricotta (maison, c'est encore mieux !)
  • 60 g de lait
  • 15 g d'huile de pépins de raisin
  • 120 g de sucre
  • 80 g de farine
  • 110 g de poudre d'amande
  • 1 pincée de sel
  • 10 g de poudre à lever
  • 30 cerises amarena
  • 2 cuillères à soupe de sirop des cerises amarena

On commence par préchauffer le four à 200°C.

On mélange ensemble la farine, la poudre d'amande, le sel et la levure.

Dans un récipient, on fouette ensemble la ricotta et le sucre jusqu'à obtenir un mélange bien lisse. On incorpore le mélange sec, et on mélange avec une cuillère en bois. Puis on incorpore le lait, l'huile et le sirop.

On ajoute les cerises, on mélange rapidement. On verse dans le moule.

On fait cuire 30 minutes jusqu'à ce que le dessus soit un peu doré et que la lame d'un couteau ressorte sèche quand on l'enfonce dans le gâteau.

On laisse alors refroidir sur une grille et on déguste avec beaucoup de plaisir cette terrible gourmandise.

Inutile de vous dire combien l'association amande/amarena est top !

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Talons hauts & cacao

11 mai 2010

..Glace choco-menthe, sans oeuf..

Je n'ai pas le temps de cuisiner, certes, mais je ne pouvais pas ne pas tester mon nouveau joujou. Quand même ! Depuis le temps que je tanne mon chéri pour en avoir une, il fallait bien que je lui montre à quel point c'était indispensable. Et pour tester ce plus que très utile bol sorbetière, je suis allée au plus vite avec une recette de glace sans œuf. Pas de crème anglaise à faire, du coup c'est plus léger et côté gain de temps, c'est incomparable. Je me suis lancée dans une recette au chocolat. Pas surprenant me connaissant vous direz-vous ? Et bien, si, justement, la glace au chocolat n'est pas du tout mon parfum préféré aussi étrange que cela peut être pour la chocoaddict que je suis. Je préfère de loin les glaces aux fruits, mais pas ma moitié. Alors, pour lui faire plaisir, je me suis sacrifiée (ou bien c'est ça, ou c'est parce que je n'avais pas de fruit sous la main... c'est comme on veut, mais je vais garder la version plus romantique et garder la raison purement égoïste pour moi !).

Débutant totalement dans la confection des glaces, j'ai préféré faire confiance à Paillon et Felder, et c'est donc dans le bouquin Glaces et desserts glacés que je suis allée chercher mon inspiration. J'ai suivi la recette presque à la lettre, ajoutant une petite touche de Get 27 pour donner un peu plus de peps à cette glace.
Pour le résultat : parfait. Franchement, c'est à se demander si les œufs sont vraiment utiles. La glace est onctueuse, crémeuse... bref... un régal dont il serait dommage de se priver vu que le ciel redevient légèrement bleu !

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Pour 1/2 litre de glace :

  • 400 ml de lait entier frais
  • 50 g de chocolat à 56%
  • 60 g de chocolat à 80%
  • 80 g de sucre semoule
  • 2 cuillères à soupe de Get 27
  • 1 cuillère à soupe bombée de lait en poudre
  • 1 cuillère à soupe de cacao amer en poudre

On commence par porter le lait à ébullition.On verse le lait en poudre et le sucre et on mélange bien.

On hache le chocolat finement et on le place dans un saladier avec le cacao. On verse dessus le lait (filtré) en plusieurs fois et on mélange bien. On ajoute le Get 27.

On place au frais jusqu'à total refroidissement (le mieux c'est de le préparer la veille pour glacer en sorbetière le lendemain).

On fait ensuite prendre en sorbetière (pour moi, pendant 25 minutes).

On réserve ensuite deux heures au congélateur pour que la glace soit bien prise, mais on peut aussi la déguster aussitôt que le cycle de la sorbetière est terminée quand la glace est alors terriblement tendre et moelleuse... j'adore !

On saupoudre d'un peu de copeaux de coco et on se régale en imaginant qu'on est en vacances sous le soleil !!!

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23 juillet 2012

..Sweet cocottine..

"Mais elle fait quoi, elle. De toutes évidences, elle cuisine plus... Par contre, qu'est-ce qu'elle picole !..." Oui, je sais, mais allez, c'est l'été... et en ce moment, nous avons tout un tas de choses à fêter (bientôt, bientôt, promis je vous raconte tout !), alors un pti cocktail improvisé avec ce bar qu'il faut absolument liquider... oui, absolument... et quand deux personnes qui ne boivent jamais se décident de descendre les bouteilles... ben ça prend du temps ! Parce qu'un verre et hop... Tandis que Mr Pomme s'appuie sur des valeurs sûres, le vin de noix de son papi, moi, je me la joue aventureuse ! Et l'aventure ça a du bon quand ça permet à de la douce noix de coco de rencontrer la gourmandise d'un bocal de griottines...

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Par personne :

  • 80 ml de crème de coco
  • 60 ml de jus de griottines (lequel doit être composé de sirop, de kirsch et autre liqueur mystérieuse...)
  • 3 glaçons
  • 2 griottines

On place tout dans le blender. On donne un coup pour mixer les glaçons. On sert immédiatement avec une petite brochette de griottines pour accompagner. 

Alors, je ne serai pas vous dire si c'est très fort ou pas... ce qui est sûr, c'est que c'est terriblement bon !

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28 juin 2012

..Sablés au parmesan et graines de courge..

L'an dernier, pour notre mariage, j'en avais fait plusieurs fournées séduite par la simplicité de la réalisation et les variations envisageables. Le succès avait été au rendez-vous, du coup, j'ai récidivé lors du pot de fin année du journal du laboratoire auquel j'appartiens. Là encore, ils ont plutôt plu, alors je me décide enfin à poster la recette pour les intéressées qui veulent s'y mettre. ^-^ Surtout que la saison des apéros démarre !!

P1680633Pour 40 sablés :

  • 180 g de farine
  • 100 g de parmesan fraîchement râpé
  • 120 g de beurre à température ambiante
  • 2 jaunes d'oeufs
  • 1 cuillère à café de piment d'Espelette
  • 1 bonne cuillère à soupe de graines de courge grossièrement concassées
  • 2 pincées de sel

On commmence par amalgamer le beurre et le parmesan. On ajoute ensuite la farine, le piment, les graines de courge et le sel. On mélange grossièrement.

On ajoute ensuite les jaunes d'oeufs et on pétrit légèrement jusqu'à obtenir une pâte homogène et compacte (mais attention à ne pas trop travailler la pâte quand même).

On divise la pâte en deux. On forme deux boudins de 3 cm de diamètre. On filme.

Si on ne souhaite pas tout utiliser à ce moment de la recette, on peut congeler les boudins de pâte crue. Après, à l'occasion d'un apéro improvisé, il suffit de les sortir du congélateur et de découper la pâte en tronçons pour les cuire ensuite encore congelés.

Si on souhaite faire les sablés immédiatement, on les place au frais 1 heure.

On préchauffe ensuite le four à 200°C.

On récupère la pâte, on découpe des tranches de 8 mm environ d'épaisseur. On les dispose sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Si on le souhaite, on peut les dorer avec un peu de jaune agrémenté de piment ou bien les enfourner sans rien faire.

On laisse cuire 15 minutes, puis on laisse refroidir sur une grille. Et pendant ce temps, on sert l'apéro !

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Source : Elle à table, recette d'Alba Pezone

9 juillet 2012

..The best home made glace rhum raisins ever..

Oui, The best ! Je n'utilise pas très souvent ce terme parce que la durée de vie du label The best en cuisine est plutôt surfait et toujours de courte durée, le moment de gloire d'une recette tenant le temps qu'une autre vienne la détrôner... Mais là, je dois dire que, de toutes les variations industrielles, artisanales et home made, de glace rhum raisins, celle-ci est certainement l'une de mes préfèrées. Et je la dois à Coco de Pause Gourmandises. Pas trop sucrée, bien rhumée, onctueuse, sans cristaux, pas trop ferme tout en se tenant très bien pour former de jolies boules, j'adooooooore cette recette. Et Mr Pomme aussi, alors, même si le temps ne s'y prête pas vraiment, noyons-nous d'illusions le temps d'un dessert pour nous donner l'impression avec cette bonne glace que, oui, nous sommes en été !

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Pour un peu moins d'un litre de glace :

  • 300 ml de lait demi-écrémé
  • 200 ml de lait concentré non sucré (demi-écrémé pour moi)
  • 4 jaunes d'oeuf
  • 125 g de sucre
  • 100 g de raisins secs de corinthe
  • 30 g de rhum brun
  • 200 g de crème liquide entière

J-1, la veille :

On met les raisins à tremper dans le rhum dans un bocal fermé. On réserve à température ambiante.

On met ensuite les deux laits dans une casserole que l'on place sur feu doux. Pendant que les laits chauffent, on bat les jaunes avec le sucre, jusqu'à ce que le mélange blanchisse.

Quand le lait bout, on stoppe le feu. On verse un peu de lait sur les oeufs et on remue. Puis on verse le reste du mélange dans le restant de lait, dans la casserole. On replace sur feu doux, et sans cesser de remuer avec une cuillère en bois, on attend que le mélange prenne la consistance d'une crème anglaise, c'est-à-dire qu'il nappe la cuillère. Il ne faut surtout pas que cela bout.

Quand la crème nappe la cuillère (c'est-à-dire que l'on peut faire un trait avec le doigt sur la cuillère sans que la crème vienne couvrir cette marque), on stoppe la cuisson.

On laisse refroidir à température ambiante, puis on place au frais pour toute la nuit.

Jour J :

On verse la crème liquide dans un récipient pour être monter en chantilly. Et on place le tout au congélateur pour 15 minutes.

On récupère l'ensemble et on monte la crème en une chantilly assez ferme.

On incorpore ensuite la chantilly dans la crème anglaise.

Puis on verse l'ensemble dans le bol de la sorbetière et on turbine à faible vitesse pendant 20-25 minutes environ, c'est-à-dire jusqu'à ce que la consistance soit cette d'une jolie et onctueuse crème glacée. 15 minutes après le lancement de la sorbetière, on peut verser les raisins secs dans la glace, mais pas avant pour être sûr que la glace prenne bien.

Une fois le turbinage terminé, on obtient une crème glacée très crémeuse qui peut être dégustée immédiatement. Si l'on souhaite en revanche faire de jolies boules, il faudra transvaser la glace dans un récipient hermétique et le placer au congélateur au moins une heure.

Pour les autres fois, quand elle aura passer plus de temps au congélateur, il suffira de sortir la glace 5 petites minutes avant de faire les boules pour qu'elle ramolisse très légèrement.

Et maintenant, on se régale. Perso, j'ai quelques cerises amarena qui ne demandent qu'à être mangées, alors je crois que je vais très vite reprendre cette recette pour une petite variation gourmande...

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Pause Goumandises

7 novembre 2012

..Mousse au chocolat (sans jaune) et croustillant au chocolat blanc..

Après la brioche, il me restait trois blancs. Comme il n'est pas encore question de macaron (vais attendre d'avoir un peu mieux apprivoisé mon four pour ça...), je me suis dit que j'allais en profiter pour faire une mousse au chocolat qui aurait l'avantage d'être plus légère. Et c'était une très bonne idée parce qu'on ne sent pas vraiment la différence. En tous cas, les papilles de Mr Pomme ont été ravies de la même manière !

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Pour 6 petites mousses au chocolat :

  • 110 g de chocolat noir à 60%
  • 50 g de crème liquide entière
  • 3 blancs
  • 1 cuillère à café de sucre
  • 30 g de chocolat blanc
  • 3 cuillères à soupe de granola (ici flocons d'épeautre et amandes concassées)

On commence par hacher le chocolat noir au couteau.

On fait bouillir la crème que l'on incorpore ensuite en 3 fois dans le chocolat en prenant bien soin de m"langer vivement à chaque fois pour obtenir une masse bien brillante.

On monte les blancs en neige bien ferme et à la toute fin, on ajoute le sucre pour les serrer.

On attend que le chocolat atteigne les 45/50°C, puis on verse dedans un tiers des blancs en mélangeant vivement pour détendre. On incorpore les deux tiers restant délicatement pour ne pas casser les blancs.

On verse ensuite dans 6 petites verrines et on place au frais.

On prépare ensuite le croustillant. Pour cela, il suffit de hacher le chocolat blanc et de le faire fondre doucement au bain marie, puis d'ajouter le granola. On dépose sur une feuille de papier sulfurisé et on place au frais pour faire prendre.

Au bout d'une heure, quand les mousses au chocolat ont commencé à prendre et le croustillant est devenu dur, on le casse en petits morceaux et on dépose une partie de celui-ci sur chaque mousse. On replace le tout au frais pour 3 heures au minimum.

C'est simple, mais c'est souvent dans la plus grande des simplicité qu'on trouve le plaisir ! N'est-ce pas ? Et puis, on a beau dire, personne ne résiste jamais à une mousse au chocolat !

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Maintenant, à vous de jouer !

19 décembre 2012

..Flocons de neige au chocolat..

Je ne fais pas souvent de petits biscuits type Bredele parce que je préfère les petites choses plus "humide"s (je sais pas si c'est vraiment le bon terme à employer, mais bon, vous comprenez l'idée). Et puis, j'ai tendance à associer les biscuits secs avec ceux que l'on achète dans le commerce (genre la grosse boîte avec tout plein d'assortiments que l'on ressort invariablement pour boire le café en fin de repas), et donc, ça n'aide pas vraiment à apprécier on va dire.

Mais en même temps, en matière de Bredele comme dans tout en cuisine, le fait maison peut vite vous faire changer d'avis. Et je vous promets que je n'échangerai peut-être pas encore un carré de brownie pour un de ces flocons, mais je serai quand même bien frustrée d'avoir à faire ce choix...

Je voulais faire quelque chose pour une amie et collègue québécoise qui soutenait sa thèse aujourd'hui, histoire de participer à l'effort collectif quoi ! Et quand j'ai vu la recette de Flo hier, j'ai su que je tenais exactement ce qu'il me fallait. En plus, ses étoiles au chocolat étaient tirées du livre Les petits gateaux d'Alsace que j'avais déjà eu l'occasion de feuilleter sur les étagères d'une copine, donc ça m'a rappelé des souvenirs.

Ses étoiles sont devenus des flocons, histoire de mettre à profit ce nouvel emporte-pièce acheté il y a quelque jour. J'ai vraiment beaucoup aimé parce qu'ils goûtent vraiment bien le chocolat... Et Mr Pomme ? Ben vu qu'il en a englouti une petite dizaine à quelques minutes d'aller se coucher ("parce que tu comprends, c'est meilleur quand c'est chaud... "), je pense qu'il a adopté la recette lui aussi ! Mais espérons surtout que ça aura plu à l'intéressée... Sinon, désolée pour les photos... elles ont été prises dans l'obscurité la plus totale... vers 16h30 quoi ! ^-^

Flocons au chocolat

Pour 26 flocons (recette légèrement modifiée par rapport à l'originale) :

  • 240 g de farine
  • 110 g de sucre
  • 50 g de chocolat râpé
  • 1 cuillère à café de cacao amer en poudre
  • 0,5 cuillère à café de poudre à lever
  • 80 g de beurre pommade
  • 1 oeuf
  • 2 cuillères à soupe de lait

On mélange ensemble au fouet le sucre et le beurre jusqu'à ce que le tout blanchisse. On ajoute l'oeuf et le cacao.

Si on travaille avec un petit assistant style kitchenfriend, on change le fouet pour la feuille. Sinon, on prend une cuillère en bois. On ajoute le chocolat râpé, puis la moitié de la farine avec la poudre à lever.

On mélange bien. On mouille avec le lait, on verse le reste de farine, puis on travaille jusqu'à obtenir une boule de pâte lisse et pas trop collante.

On étale la pâte sur un plan de travail légèrement fariné sur une épaisseur de 7-8 mm environ. On découpe des formes avec l'emporte-pièce et on place les biscuits sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.

On dépose les plaque 10 bonnes minutes à congélateur.

Pendant ce temps, on préchauffe le four à 180°C. On récupère les plaques et on enfourne pour 12 minutes.

On attend que les biscuits durcissent avant de les déposer sur une grille pour qu'ils refroidissent et on conserve le tout dans une boîte en fer.

Ultra simple, ultra rapide et ultra efficace !

Flocons au chocolat-3   Flocons au chocolat-4

Source : Un "Flo" de bonnes choses

28 janvier 2013

..Marmelade orange et citron vert au gingembre (au micro-ondes... et oui !)..

Voilà de quoi tartiner votre brioche ou vos pancakes ! Je crois que je bats des recaords de longévité avec cette recette... elle date des paniers gourmands de Noël... 2009 ! Et elle était oubliée au fond d'un dossier. J'ai retrouvé les photos il y a quelque jours alors que je voulais refaire la recette et que je la cherchais désespéremment sur mon blog... Disons, que je pouvais chercher longtemps ! Enfin, maintenant qu'elle va être publiée, je saurai où la trouver même si ce n'était pas trop dure puisqu'elle est sur le joli blog de Joëlle qui en est l'instigatrice ! Je n'ai presque rien changé, si ce n'est un petit citron vert de plus, histoire de...

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Pour 2 pots de confiture :

  • 2 oranges
  • 1 pomme
  • le zeste d'une demi-orange
  • 2 citrons verts
  • le zeste d'un citron vert
  • la moitié du poids des fruits en sucre cristal
  • gingembre en poudre

On commence par prélever les zestes de l'orange et du citron vert avec une râpe (microplane, c'est encore mieux !). On pèle les oranges et les citrons à vif, puis on les coupe en morceaux. On place les agrumes dans un saladier en verre avec le sucre et la pomme préalablement râpée. On saupoudre un peu de gingmebre sur le tout. On mélange bien.

On fait cuire au micro-ondes pendant 6 minutes à 900w (sans couvrir), puis 10 minutes à 750w. On arrête la cuisson trois fois pour remuer. Puis on ajoute les zestes 5 minutes avant la fin de la cuisson.

Pendant ce temps, on stérélise les pots en les ébouillantant.

On remplit les pots avec la confiture à la sortir du micro-ondes. On les retourne la tête en bas sur un chiffon propre et on laisse comme ça jusqu'à total refroidissement.

Très sincérement, cette cuisson au micro-ondes m'a bluffée ! Facile, rapide, pratique... et comme la recette est, qui plus est, délicieuse, pas étonnant que je cherchais à la refaire ! ^-^

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Le coin de Joëlle

31 janvier 2013

..Brioche au lait d'amande et à l'orange..

Comme on dit ici, je suis tombée en amour de la brioche et de toutes ses variantes depuis que je me suis mise à en refaire cette année. Le fait est que le matin je n'ai plus le temps comme avant de préparer des pancakes et que la brioche est une alternative bien pratique puisqu'on peut en préparer le dimanche pour toute la semaine, congeler des portions et les sortir chaque jour au fur et à mesure, gardant à celle-ci tout le plaisir de la brioche fraîche grâce à un tout petit passage au four. Et comme il y a des milliers de recettes et de façonnages différents, je pense que je ne suis prête ni de faire le tour, ni de me lasser... surtout que c'est à mon très cher kitchen-friend que revient le plus dur du travail... le pétrissage !

Bon, je ne maîtrise pas encore vraiment, alors je suis les recettes qui ont fait leurs preuves des copinautes. Je ne peux pas m'empêcher de dévier mais je ne me sens pas prête à inventer complétement. Cette fois, j'avais envie de lui donner un petit goût de saison, une saveur d'agrume (enfin, je voulais surtout tester très vite ma nouvelle microplane... ). Et je me suis rappelée de cette recette de A bread A day qui m'avait fait baver d'envie à l'époque (et oui, en 2009 j'avais la boulange timide !). C'est assez marrant de voir d'ailleurs que mon cerveau était capable d'avoir gardé ça dans un coin, alors que les analyses factorielles sur lesquelles je suis depuis des semaines ont tendance à s'en échapper à une vitesse ahurissante !... Va falloir se pencher sérieusement sur ça et peut-être penser à donner un petit nom chocolaté aux techniques statistiques barbares pour qu'elles s'incrustent dans ma tête... ^-^ Mais bon, ne suis-je pas en train de m'éloigner là ?

Les photos sont plutôt moches... mais difficile de faire des photos de jour quand la nuit tombe à... 15 h (bon, là, c'est plus tard, mais au moment de cette brioche, j'vous jure qu'à 15h, il faisait nuit !).

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Pour une grosse brioche ou deux "normales" :

  • 510 g de farine
  • 240 ml de lait d'amande
  • 60 g de beurre
  • 1 gros oeuf
  • 2 cuillères à café de levure instantanée
  • 3 cuillères à soupe de sucre
  • 2 cuillères à café de sel
  • le zeste d'une orange
  • 1 cuillère à café de liqueur d'orange triple sec

On commence par placer dans la cuve du robot (ou dans un récipient si on a assez de courage pour faire ça à la main) la farine, le sel, le sucre et la levure (en faisant attention à ce qu'elle ne touche pas le sel), ainsi que le zeste. On mélange bien le tout avec un fouet pour bien tout disperser.

Ensuite, selon les instructions données par le fabricant de la levure, on ajoute le lait chaud ou tiède (pour moi il doit être chauffé à 120-130°F). On le verse pendant qu'on commence à faire tourner le crochet. Quand le lait est totalement incorporer, on ajoute l'oeuf et le triple sec. Puis on ajoute en deux fois le beurre en attendant qu'il soit amlagamé à la pâte entre les deux ajouts.

Au départ, la pâte est très collante ce qui laisse supposer qu'il faudrait rajouter de la farine. Mais surtout pas... il faut continuer à pétrir une bonne dizaine de minutes et... miracle ! Elle devient lisse et non collante. Une belle boule de pâte.

On la boule bien et on la dépose dans un récipient légèrement huilée et recouvert d'un chiffon propre pendant 1 heure ou jusqu'à ce qu'elle double de volume.

Quand c'est fait, on récupère la pâte, on dégaze du plat de la main et puis on divise en deux pour faire deux brioches. Là, on fasconne comme on veut. On peut faire un joli pain comme Beth ou bien laisser aller son imagination. Personnellement j'ai choisi de faire deux tresses que j'ai cuites dans le même plat ce qui donne une seule brioche carrée pour une belle tablée. Je suis d'ailleurs pas très contente du rendu parce que j'ai essayer de faire vite pour pouvoir aller à la gym et revenir juste au moment de cuire... et des fois, la vitesse... ben c'est pas l'ami de la cuisinière... enfin, elle reste blogable ! ^-^

Ce qu'il faut en revanche c'est qu'après le fasconnage, on laisse à nouveau pousser sous un torchon à l'abris des courants d'air. Et quand la brioche aura à nouveau doubler de volume et que lorsque vous appuyez avec le bout du doigt, elle reprend tout de suite sa forme, vous pourrez dorer à l'oeuf, saupoudre de sucre et hop au four chaud (préchauffé à 200°C) pour 25 minutes de cuisson environ.

A la sortie de four, on sort du plat et on laisse refroidir sur une grille puis on se régale... franchement, c'est top !

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 Maintenant, à vous de jouer !

Source : A bread A day

12 février 2013

..Petits soufflés aux épinards et cheddar..

Parfois je me dis que les personnes qui lisent mon blog doivent penser que nous avons une alimentation pour le moins riche et sucrée... Heureusement non ! La plupart de nos repas sont à base de légumes... de délicieuses poêlées dont Mr Pomme est devenu un maître du genre ! Mais c'est vrai que pour les publications, j'ai tendance à me laisser aller à la gourmandise... En même temps, ça vous fait souvent plus réagir qu'une poêlée de chou... aussi délicieuse soit-elle ! ^-^ Tout est donc de votre faute chers lecteurs ! ^-^

En tous cas, ce petit soufflé est la preuve qu'on ne mange pas que des brownies chez les Pomme, et qu'on peut allier gourmandise et repas sain. Bon ok, y'a du beurre et un peu de fromage... à peine...

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Pour 6 soufflés individus :

  • 300 g d'épinards frais
  • 30 g de beurre
  • 4 oeufs
  • 30 g de farine
  • 300 ml de lait
  • 60 g de cheddar fort
  • sel
  • poivre
  • cumin

On commence par laver et retirez la branche centrale des feuilles dépinard. On les fait ensuite fondre 5 petites minutes dans une poêle avec un peu de beurre. On récupère , on essore bien et on les hache.

On préchauffe le four à 200°C.

On prépare la béchamel. Pour cela, on fait fondre le beurre dans une casserole. On ajoute en une seule fois la farine quand le beurre est fondu. On mélange bien et on fait sécher 3 minutes environ sans cesser de remuer. Puis on verse le lait en plusieurs fois, en faisant bien attention qu'il soit complétement incorporer avant d'en ajouter.

Quand la béchamel est prête,on ajoute les jaunes d'oeuf l'un après l'autre. On incorpore enfin le cheddar préalablement râpé, et on assaisonne avec du sel, du poivre et du cumin. Puis on ajoute les épinards hachés.

On monte ensuite les blancs en neige ferme. On les incorpore enfin délicatement à la béchamel en utilisant une spatule et en faisant attention à ne pas trop les casser.

On beurre bien 6 ramequins. On les farine. On remplit avc l'appareil à soufflé jusqu'au 3/4 environ. Puis on place dans le four chaud pour 30 minutes de cuisson.

On surveille bien la coloration, mais attention à ne pas ouvrir la porte sous peine de les faire immédiatement retomber.

J'ai obtenu des soufflés tout gonflés et terriblement légers et moelleux. Mais forcément, au moment des photos.... psss... ils étaient retombés. En tous cas, ils étaient délicieux et j'ai une photo du four qui montrent comme ils était beaux ! ^-^

A accompagner à l'envie avec du poisson ou une belle salade. Ce qui est sûr, c'est que c'est une bonne manière de réconcilier plein de personne avec les terribles épinards de la cantine... beurk, que de mauvais souvenirs ! ^-^

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Maintenant, à vous de jouer !

Source : Soufflés de Larousse Cuisine

12 juin 2013

..Petits roulés d'aubergines à la mozzarella..

J'ai passé une semaine en Grèce il y a quelques jours pour le travail. Et oui, être chercheur a des petits côté agréables comme les colloques sous le soleil. Nous n'avons pas eu l'occasion de beaucoup bouger, mais nous avons eu la chance d'avoir un restau très sympa à l'hôtel où j'ai notamment goûté des roulés d'aubergine ter-ri-bles ! Je me suis donc mise en tête de les refaire en rentrant. Ce n'est pas exactement ceux que j'ai goûté, notamment parce que je n'ai pas ajouté de jambon fumé dedans, mais c'était déjà délicieux et une prochaine version est en préparation... Vous connaissez mon goût pour les déclinaisons hein...

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Pour 2 personnes :

  • 1 belle aubergine
  • 150 g de mozzarella
  • 200 g de sauce tomate
  • 50 g de crème liquide
  • huile d'olive
  • poivre
  • herbes de Provence

On préchauffe le four à 180°C.

On détaille ensuite l'aubergine lavée et séchée en rondelles de 5 mm environ. On nappe rapidement avec un peu d'huile d'olive, puis on étale les rondelles sur une grille et on passe au four jusqu'à ce qu'elles soient bien fondantes.

On récupère. On coupe la mozzarella en autant de bâton que l'on a obtenu de rondelles d'aubergine. On dépose un bâton de fromage sur chaque rondelle d'aubergine, on roule et on fait tenir avec un pic en bois si nécessaire. On dépose chaque morceau sur un plat allant en four.

Il reste ensuite à préparer la sauce. On mélange la sauce tomate et la crème. On poivre et on saupoudre un peu d'herbes dedans. On verse sur les aubergines et on place au four pour une bonne vingtaine de minutes. On sert tout de suite avec un peu de riz par exemple. Ca c'est vraiment simple, mais tellement bon !

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Maintenant, à vous de jouer !

27 février 2013

..La sauce aux tomates cerises qui déchire..

Une fois n'est pas coutume, c'est une sauce que je vourais mettre à l'honneur... parce que c'est une telle tuerie qu'elle va avec tout ! Pâtes... riz... quenelles... gnocchi... chou fleur... Vous pouvez y aller, elle est terrible. Et elle l'est encore plus depuis que j'ai découvert ça... je fais pas de pub hein, j'ai aucun lien avec la marque qui m'a certainement pas offert la boîte que j'achète pourtant à grand renfort depuis des semaines maintenant (d'ailleurs, je mets même pas le nom de la marque dans l'article donc si vous voulez pas savoir, et être empoisonné par une nouvelle publicité, et je vous comprends, ouvrez pas le lien), mais en tous cas je peux vous dire que depuis que j'ai découvert cette boîte de tomates cerises pelées conditionnées dans leur jus... suis fan et la sauce à base de tomate n'arrêtent pas de voir le jour dans la cuisine.

Cette fois, ce sont des gnocchi qui ont eu la chance de goûter à la compagnie de cette petite sauce... mais pour être honnête, si on osait... ben y'aurait juste une belle tranche de pain avec et rien d'autre ! ^-^

2013Pour 6 personnes :

  • 400 g de tomates cerises pelées conditionnées dans leur jus
  • 100 g de crème liquide
  • 1 gros oignon
  • 250 g de viande de boeuf hachée
  • sel
  • poivre
  • origan
  • huile d'olive

On commence par faire revenir l'oignon émincé dans l'huile d'olive. Quand il commence à colorer, on ajoute les tomates et on fait cuire doucement à feu doux jusqu'à ce que les tomates fondent et que la sauce prennent forme. On peut ajouter un peu d'eau si nécessaire en cours de cuisson. Ca peut durer une petite vingtaine de minutes.

On ajoute la viande hachée, et l'on poursuit la cuisson jusqu'à ce qu'elle soit cuite. Quand la sauce nous semble prête et qu'elle nappe bien la cuillère en bois avec laquelle on tourne amoureusement cette gourmandise, on ajoute la crème liquide, on sale et on poivre et on incorpore l'origan.

On sert immédiatement tant que la sauce est brûlante. On peut ajouter quelques copeaux de paremesan, ça fait du bien et ça coûte rien à la gourmandise. Et surtout on prépare un peu morceau de pain pour saucer, parce que là, on en perd pas une goutte ! Et oui, c'est si simple de se faire du bien !

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Maintenant, à vous de jouer !

8 juillet 2013

..Paris-Brest à la pistache..

Il y a quelques jours, nous étions invités pour un anniversaire et quand j'ai demandé si je pouvais amener quelque chose, on m'a, l'air de rien, glissé que je pouvais faire un dessert. Ca tombait bien, j'avais décidé de m'essayer au Paris-Brest. Mais je voulais une crème à la pistache avec... C'est ma folie des fruits rouges ces derniers jours qui a fait naître cette envie de pistache, la gourmandise procède souvent par association chez moi... J'ai envie d'un truc, mais quand je l'ai enfin réalisé, ça me fait penser que j'aurais envie de ça and so on... On en finit pas... Bref, comme j'ai à nouveau un peu plus de temps, j'ai décidé de me mettre à apprivoiser vraiment mon four et donc pour ça, il me faut y faire cuire autre chose que des gratins de légumes hein... Surtout si je veux bientôt pouvoir passer à l'étape "macarons"... La pâte à chou est donc parfaite pour entamer la transition... Et comme pour l'instant, y'a encore des réajustements à faire, je sens que Mr Pomme va se faire une nouvelle série de dégustation le week-end prochain et certainement le suivant... Trop dur d'être marié à celle qui voulait maîtriser son four...

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Pour deux Paris-Brest de 18 cm de diamètre environ :

Pour la pâte à chou :

  • 125 g de lait
  • 125 g d'eau
  • 125 g de beurre
  • 140 g de farine
  • 4 g de sel
  • 4 oeufs + 1 oeuf pour la dorure
  • amandes effilées

Pour la crème mousseline à la pistache (recette de base trouvée ici, sur le délicieux blog Amuse Bouche) :

  • 500 g de lait entier
  • 150 g de sucre
  • 2 oeufs + 1 jaune
  • 50 g de fécule de maïs
  • 200 g de beurre à température ambiante
  • 2 cuillères à soupe de pâte de pistaches

1- Préparation de la crème mousseline :

Dans une casserole à fond épais, on fait chauffer le lait avec la moitié du sucre jusqu'à ébullition. 

Dans un saladier, on bat les oeufs avec le reste de sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. On ajoute la fécule de maïs et on bat à nouveau pour bien l'incorporer.

On verse en plusieurs fois le lait encore chaud sur les oeufs en mélangeant bien.

On remet la préparation sur feu doux, et sans cesser de mélanger, on laisse épaissir la crème. On a donc obtenu une belle crème pâtissière que l'on va laisser refroidir tranquillement (en la couvrant bien avec un film plastique pour pas qu'elle croûte).

Quand elle est froide. On fouette le beurre pour obtenir quelque chose de bien crémeux. Puis on ajoute la crème pâtissière, cuillère par cuillère. On mélangeant bien au batteur entre chaque ajout pour bien l'incoporer. Vers la fin, on incorpore la pâte de pistaches. La crème mousseline ainsi obtenue a vraiment une belle tenue ce qui fait qu'elle se travaille très bien ensuite à la poche à douille pour le montage. Elle est vraiment parfaite et en plus délicieuse... On la conserve au frais en attendant.

2- Préparation des choux :

Dans une casserole, on verse l'eau, le lait, le beurre et le sel. On place sur feu doux et, dès le début de l'ébullition on sort du feu.

Hors du feu, on incorpore la farine tamisée en une seule fois et mélangeant vivement avec une spatule en bois.

On replace sur feu moyen pour déssècher la pâte pendant 2 minutes, en remuant énergiquement. 

On transvase la pâte à choux dans un récipient. On incorpore les œufs un à un en attendant à chaque fois que l'œuf soit bien intégré à la pâte avant de passer au suivant. A la fin, on doit obtenir une pâte souple qui fait un ruban. Si ce n'est pas le cas, on prend un autre œuf que l'on bat en omelette et on l'incorpore cuillère par cuillère jusqu'à obtenir la bonne consistance.

On préchauffe le four à 180°.

Sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, on dresse un cercle de 18 cm environ, puis collé contre un deuxième plus petit à l'intérieur du premier. On refait la même chose sur une autre plaque.

On nappe délicatement les deux cercles avec un oeuf battu. On parsème d'amandes effilées.

On fait cuire 35 minutes sans ouvrir la porte du four. Quand les cercles sont bien cuits (ils sont très légers et sonnent creux à l'intérieur), on les décolle et on les place sur une grille pour qu'ils refroidissent.

3- Montage des Paris-Brest :

On découpe délicatement les cercles en deux pour les ouvrir et les garnir.

On récupère la crème mousseline. On redonne un coup de batteur si besoin. On remplit une poche équipée d'une douille canelée de crème et on dépose des petites montagnes de crème tout le long des cercles sur deux rangées. On replace le haut du cercle sur la crème. On saupoudre de sucre glace et voilà !

Plutôt contente pour un premier essai dans un four capricieux et pour un premier Paris-Brest... Il a eu un joli succès, même si maintenant, va falloir que je travaille sur l'esthétique qui était pas franchement au rendez-vous... Pas facile de dresser la pâte en un joli cercle régulier même en ayant fait une empreinte avant... Va falloir s'entraîner !

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Maintenant, à vous de jouer !

17 juin 2013

..Crevettes au lait de coco et petits légumes..

Souvent, quand je repère une recette qui me plaît, je me dis "ok, cette fois, je vais la suivre à la lettre pour de vrai" parce que ça serait bien d'obtenir le résultat exact de ce qui t'a fait craquer. Mais au final, dès que je commence à me lancer, je supprime ça, ajoute ça, transforme ça... si bien que d'une recette de Elle à table ! "des crevettes un peu Thaïes", il ne m'a resté que les crevettes (et c'est déjà bien !) et le lait de coco... Toujours est-il que Mr Pomme s'est régalé alors bon... la discipline ça sera pour la prochaine fois. Promis !

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Pour 4 personnes :

  • 400 g de crevettes surgelées cuites
  • 1 petite courgette
  • 1 petit poivron rouge
  • 1 boîte de lait de coco
  • huile d'olive
  • 1 petite cuillère à café pâte de piment

On commence par découpe finement la courgette et le poivron. Dans le wok, on fait chauffer l'huile, et on jette les légumes. On les fait revenir rapidement avec la pâte de piment. Puis on verse le lait de coco. On porte à petite ébullition et on laisse réduire.

Quand la sauce commence à être bien épaisse. On ajoute les crevettes encore surgelées. On laisse quelques minutes pour les chauffer et les cuire légérement (attention à ne pas trop les laisser cuire au risque de vous retrouver avec une poignée de crevettes cocktail). Puis on sert immédiatement avec des bonnes nouilles udon.

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Maintenant, à vous de jouer !

19 juin 2013

..Marbré au chocolat noir et à la pistache (quelques framboises et du chocolat blanc aussi quand même)..

Je vous le dis que je suis dans une période de recette mémère... et j'assume. Donc après les tomates farcies, voici un marbré (et même que ces deux recettes rétro ont fait l'objet du même repas !). Je ne suis pas allée chercher la recette bien loin, c'est une variante d'un cake réalisé il y a un an et que nous avions adoré. J'ai à peine modifié les proportions et puis j'ai mis des framboises qui se marient si bien avec le chocolat et la pistache, et ajouté quelques pépites de chocolat blanc histoire de rendre le tout encore plus gourmand... Comment dire, il a fait à peine deux jours ! Ca doit être la preuve qu'il était pas si mal hein !

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Pour 8 personnes :

Pour la partie pistache :

  • 60 g de farine
  • 40 g de sucre
  • 2 g de levure chimique
  • 1 pincée de sel
  • 40 g de pâte de pistache
  • 1 oeuf
  • 35 g de crème liquide

Pour la partie chocolat :

  • 30 g de farine
  • 20 g de poudre d'amande
  • 50 g de sucre
  • 2 g de levure chimique
  • 50 g de chocolat noir à 70%
  • 1 oeuf
  • 10 g de beurre
  • 30 g de crème liquide

En plus :

  • une 20ne de framboises fraîches
  • quelques pépites de chocolat blanc

1- Préparation de l'appareil pistache :

On mélange ensemble le sucre, l'oeuf, le sel et la crème. On ajoute la farine et la levure préalablement tamisées ensemble puis on mélange bien pour obtenir une pâte lisse. On incorpore enfin la pâte de pistache.

2- Préparation de l'appareil chocolat :

On fait fondre le beurre au micro-ondes et on réserve.

On mélange ensemble l'oeuf et le sucre. On ajoute la poudre d'amande, la farine et la levure (préalablement tamisées ensemble) jusqu'à obtenir une pâte lisse.

On casse le chocolat en petits morceaux avec un couteau. On fait chauffer la crème et on la verse sur le chocolat. On mélange bien pour obtenir une texture lisse et onctueuse.

On ajoute le chocolat à l'appareil, puis le beurre et on mélange bien.

3- Montage du marbré :

On verse dans le fond d'un moule à cake chemisé un peu de pâte au cacao, puis par dessus un peu de pâte à la pistache. On dépose dessus la moitié les framboises et des pépites de chocolat blanc. On recouvre ensuite avec la pâte à la pistache, et de la pâte chocolatée. On dépose ce qu'il reste de chocolat blanc et de framboise et on recouvre avec la pâte pistachée et la pâte chocolatée restantes.

On fait cuire ensuite 40 minutes à 160°C. Quand le cake est cuit (la lame d'un couteau doit ressortir propre quand on pique le gâteau avec), on le laisse refroidir un peu avant de le démouler. Chaud, tiède, froid... on a tout testé et dans toutes les versions il est délicieux ! Et il se mange sans faim...

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Maintenant, à vous de jouer !

24 juillet 2013

..Cake au chocolat et au rhum..

Continuons dans la gourmandise et le chocolat (oups... c'est un pléonasme... tant pis !) avec ce terrible cake au chocolat que j'ai aromatisé avec une goutte de rhum (et là, ceux qui me connaissent et connaissent également mon attrait pour le rhum dans les desserts n'en croient pas un mot et ils ont... raison ! Deux gouttes de rhum allez !)... Un délice ! Moi qui n'aime pas les cakes juste avec de la poudre de cacao, celui-ci est donc parfait. Il a un puissant goût de chocolat tout en ayant une texture parfaite !

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Pour 8 personnes :

  • 60 g de farine
  • 50 g de poudre d'amande
  • 80 g de sucre
  • 4 g de levure chimique
  • 20 g de cacao en poudre amer
  • 70 g de chocolat noir à 60%
  • 2 oeufs + 2 blancs
  • 40 g de beurre
  • 60 g de crème liquide
  • rhum brun
  • amandes effilées

On fait fondre le beurre au micro-ondes et on réserve.

On mélange ensemble les deux oeufs et le sucre. On ajoute la poudre d'amande, la farine et la levure (préalablement tamisées ensemble) et la poudre de cacao jusqu'à obtenir une pâte lisse.

On casse le chocolat en petits morceaux avec un couteau. On fait chauffer la crème et on la verse sur le chocolat. On mélange bien pour obtenir une texture lisse et onctueuse.

On ajoute le chocolat à l'appareil, puis le beurre et le rhum, et on mélange bien.

On monte les blancs en neige et on incorpore délictament ces derniers au mélange précédent.

On verse dans un moule à cake chemisé. On parsème des amandes effilées sur le dessus.

On fait cuire ensuite 45 minutes à 150°C. Quand le cake est cuit (la lame d'un couteau doit ressortir propre quand on pique le gâteau avec), on le laisse refroidir un peu avant de le démouler. Une tuerie ! Cette association chocolat et rhum est l'une de mes préférée en pâtisserie...

Cake choco_rhum (1)

Maintenant, à vous de jouer !

26 juillet 2013

..Tzatziki comme en Grèce..

Il y a deux mois à peu près, j'étais ici pour le travail... et oui, la vie de chercheur à ses avantages comme les colloques aux quatre coins du globe ! Je n'étais jamais allée en Grèce et ce pays ne faisait pas vraiment partie de ma liste de voyages, mais ces quelques jours là-bas m'ont fait changer d'avis ! J'ai vraiment beaucoup aimé ce que je n'ai pu qu'entrevoir et j'ai hate maintenant d'y revenir comme ça, pour moi, et juste pour découvrir cette culture si riche !

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En attendant, et pour revivre un peu le souvenir de la Grèce, je me tourne vers la cuisine. Et comme l'une des choses avec laquelle je me suis le plus régalée là-bas c'était lee tzatziki, que nous sommes en été et qu'il fait beau, ça m'a semblé être le moment où jamais de mettre cette petite recette sans prétention à l'honneur. Depuis quelques jours, j'en mange tous les soirs... et mmmm... il a le même bon goût que là-bas ! Je sais que normalement, c'est de l'aneth qu'il faut mettre dedans, mais Mr Pomme n'est pas très fan, mais franchement, c'est aussi très bon comme ça !

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Pour un bol :

  • 200 g de yaourt grec bien épais
  • 1 petit concombre libanais
  • 1 petite gousse d'ail hachée
  • 30 ml d'huile d'olive
  • 6-8 brins de ciboulette
  • 6-8 feuilles de menthe
  • sel
  • poivre

On commence par raper le concombre alors la grosse rape. Personnellement, je le lave mais je ne l'épluche pas. On le sale puis on le place dans une passeoire au dessus d'un récipien pour qu'il dégorge. On le laisse 15 bonnes minutes. Puis on l'essore bien.

Dans un bol, on mélange le yaourt, le concombre, l'ail, l'huile d'olive. On ciselle finement la ciboulette et la menthe. On sale légèrement et on poivre. On mélange bien et on place au frais jusqu'au moment de la dégustation. Ca se conserve assez bien. Le lendemain, il n'avait pas bougé... après, je peux pas vous dire, il a pas fait plus de deux jours...

TROP BON !

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 Maintenant, à vous de jouer !

2 août 2013

..Blondies au citron vert et à la noix de coco..

Ce blondie avait eu un joli succès quand je l'avais fait il y a quelques mois, alors je me suis décidée à le décliner pour une autre occasion. Il est toujours sans gluten, mais cette fois il a un air de vacances avec son petit goût de citron vert et la coco... et je peux vous l'assurer, il a toujours autant de succès !

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Pour un moule 20*20 cm :

  • 80 g de fécule de maïs
  • 50 g de poudre d'amandes
  • 100 g de sucre
  • 0,25 cuillère à café de sel
  • 100 g de chocolat blanc
  • 2 oeufs
  • 90 g de beurre
  • le zeste d'un citron vert non traité
  • le jus d'un demi-citron
  • 2 cuillères à soupe de coco râpée

On commence par préchauffer le four à 165°C.

On mélange ensemble la fécule de maïs, la poudre d'amandes et le sel. On râpe finement le zeste du citron en faisant attention à ne pas prélever la membrane blanche. On l'ajoute au mélange précédent.

On fait fondre au bain-marie le chocolat et le beurre. Puis on ajoute le sucre en mélangeant bien, puis les oeufs l'un après l'autre. On incorpore enfin le mélange fécule-amandes-sel-zeste. On mélange jusqu'à obtenir une pâte bien lisse.

On ajoute le jus de citron et la coco.

Et on place au four pour 25 minutes.

On laisse ensuite bien refroidir avant de découper des morceaux à l'aide d'un petit emporte-pièce. Comme le précédent, il est pas trop sucré, ce qui est surprenant. Et là, je dois dire que l'association citron vert-coco-chocolat blanc est vraiment très agréable ! A bientôt pour une prochaine version... à l'abricot peut-être ?!

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Maintenant, à vous de jouer !

16 août 2013

..Cake aux tomates cerises..

Voilà une délicieuse variante de cake salé pour vos pique-niques de l'été (ce qu'il en reste... bouh... trop triste)... avec de bonnes tomates cerises et de la mozza.... yummy ! On installe sa serviette, on sort le rosé, on s'installe les pieds en éventail et on profite !

P1410859-2Pour un cake :

  • 2 œufs
  • 130 g de fromage blanc
  • 3 cuillères à soupe de lait
  • 150 g de farine T65
  • 50 g de fromage râpé
  • 50 g de mozzarella coupée en cube
  • 50 g de jambon blanc coupé finement
  • 1 dizaine de tomates cerises
  • poivre, sel
  • quelques feuilles de basilic finement haché (environ une grosse cuillère à soupe)
  • 1/2 sachet de poudre à lever

On met le four à préchauffer à 200°C.

On commence par battre les œufs en omelette. On ajoute le fromage blanc puis le lait. On verse la farine et la levure, et on mélange bien pour ne pas faire de grumeaux.

On ajoute le fromage râpé, la mozza et le jambon. On coupe 7 tomates en deux et on les incorpore à la préparation avec le basilic. On sale et poivre légèrement.

On verse la préparation dans un moule à cake, puis on plante 3 tomates sur le dessus. On place au four pour 40 minutes. On laisse refroidir légèrement avant de démouler pour couper en tranche.

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Maintenant, à vous de jouer !

13 octobre 2013

..Brownie cheesecake..

Dans la série "c'est dans les vieux dossiers qu'on trouve des bonnes recettes", je vous propose ces délicieuses bouchées de brownie cheesecake, réalisées en juin 2010... Et oui, ça nous rajeunit pas tout ça hein ? C'est pas que je sois à court de recettes plus récentes, au contraire, mais j'essaie de faire le ménage dans mes disques durs et ça me donne parfois envie de mettre à l'honneur une recette plus ancienne qui dormait tranquillement en attendant son heure. Vous me direz que j'aurais pu m'en passer vu les dizaines (euh centaines) de versions qui fleurissent déjà sur le net... Peut-être ou peut-être pas ! Le fait est que ce blog c'est aussi mon carnet de recettes, et que j'aime y mettre ce que j'ai envie de garder, et ça, c'est tellement bon que... voilà ! Mais trêve de justifications, place à l'action !

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Pour 16 carrés :

Pour le brownie :

  • chocolat noir : 170 g
  • cacao en poudre : 25 g
  • farine : 100 g
  • sucre : 90 g
  • poudre à lever : 0,25 cuillère à café
  • oeufs : 2
  • beurre : 90 g
  • sel : une pincée

Pour le cheesecake :

  • ricotta : 120 g
  • mascarpone : 80 g
  • crème épaisse : 50 g
  • oeuf : 1
  • sucre : 40 g
  • farine : 10 g

1- Préparation du brownie :

On commence par préchauffer le four à 180°C.

On concasse grossièrement le chocolat et on le fait fondre doucement au bain-marie avec le beurre.

On mélange dans un saladier la farine, la poudre à lever, le sel, le cacao et le sucre. On bat les oeufs en omelette, et on les ajoute au mélange précédent. On mélange bien. On ajoute ensuite le beurre et le chocolat fondus. On mélange à nouveau.

On transvase le tout dans un plat carré, et on bien étale la pâte.

2- Préparation du cheesecake et cuisson :

Là, c'est assez rapide puisqu'il s'agit de mélanger ensemble au fouet tout les ingrédients du cheesecake.

On dépose des grosses cuillères de cheesecake un peu partout dans le brownie. Puis avec la pointe d'un couteau, on fait des vagues pour créer des marbrures. On ne mélange pas trop non plus sinon, les deux préparation risquent de trop être amalgamées.

On fait cuire ensuite à four chaud pendant 20-25 minutes (il est important que le cheesecake soit bien pris quand on stoppe la cuisson). Puis on attend qu'il soit refroidit pour le placer au frais quelques heures. On découpe en petits morceaux et on surtout on pense à le sortir bien avant de manger pour que le brownie retrouve une texture souple.

C'est un régal ! Et maintenant, va falloir inventer une version sans gluten !

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Maintenant, à vous de jouer !

Image : Daily dishonesty

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